Société française d’énergie nucléaire

Groupe Régional Rhône-Ain-Loire

L'avenir est aux petits réacteurs nucléaires modulaires, moins complexes, moins coûteux, plus sûrs

Si l’énergie nucléaire fait partie pour de nombreux organismes et institutions, allant du GIEC à l’Agence internationale de l’énergie (AIE), des outils indispensables à la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre, son avenir ne se résume pas forcément aux grandes et puissantes centrales.

Les petits réacteurs modulaires, ou SMR, qui font l’objet de nombreux développements, notamment aux Etats-Unis, Royaume-Uni, Russie, Canada, et Chine, offrent une solution moins coûteuse, plus sûre et plus rapide à mettre en œuvre pour produire de l’électricité décarbonée. Panorama des 50 projets de SMR en cours dans le monde.

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Sortie du nucléaire : Engie Electrabel a décidé de se lancer dans la course aux centrales au gaz

Engie Electrabel envisage de construire quatre nouvelles centrales gaz-vapeur pour couvrir dès 2025 les besoins en électricité, écrit samedi L’Echo. Elles représenteraient ensemble une capacité de 2.950 mégawatts (MW), soit l’équivalent des quatre centrales nucléaires de Doel.

Engie Electrabel a récemment annoncé qu’il gelait ses investissements dans la prolongation de ses centrales nucléaires alors que le gouvernement fédéral a confirmé son intention de sortir du nucléaire en 2025. Le gouvernement se réservait jusqu’à fin 2021 pour prendre une décision finale, un délai jugé trop long par l’énergéticien.

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Le projet de scission d'EDF s'accélère après un accord entre Paris et Bruxelles

Selon les informations du journal Libération, l’Elysée a entériné mercredi « Hercule », le projet de réorganisation de l'entreprise publique.

Le prix de l'électricité nucléaire revendue par EDF à ses concurrents augmentera, et en contrepartie l'hydroélectricité sera filialisée à la demande de la Commission européenne.

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EDF s’envole en Bourse, hausse du prix de l’électricité nucléaire en vue

Les négociations entre Paris et Bruxelles concernant la réorganisation (ou plutôt scission et privatisation) d’EDF s'accélèrent. Premier résultat : l’action augmente de 9% en bourse, et certains traders évaluent le potentiel à moyen terme de hausse entre 20 et 40%. Pourquoi ? Les investisseurs reniflent qu’il y a de l’argent à se faire. Petit détail que j’allais oublier : certains économistes prévoient une hausse de prix de l’électricité pour les clients…

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Musk veut conquérir l'Europe avec des véhicules électriques d'une autonomie de 1.000 kilomètres

Elon Musk veut améliorer l’autonomie des modèles Tesla : 700 kms dans un premier temps, puis jusqu'à 1000 dans un second.

Le PDG a également expliqué que sa future usine géante installée à Berlin fabriquera des véhicules plus adaptés aux goûts des Européens, donc plus petits afin de se garer plus facilement dans des environnements urbains denses. Il a aussi annoncé que d'ici trois ans, Tesla développerait une voiture à 25.000 dollars [environ 21.000 euros] et diviserait par deux le coût de ses batteries.

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L'électricité belge devient l'une des plus polluées de l'Europe

D'ici 2030, la Belgique sera le seul État membre de l’Union Européenne à obtenir plus d'électricité à partir de combustibles fossiles qu'aujourd'hui (soit une augmentation de 20 %).

Ainsi, la Belgique disposera d'un des parcs électriques les plus néfastes pour le climat. Tous les pays réduisent la part de charbon et de gaz dans leur production d'électricité, sauf la Belgique, où elle augmente après la sortie du nucléaire. Ce sont les principales conclusions pour la Belgique d'une nouvelle étude de Ember, le groupe de réflexion britannique sur le climat.

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« La France a bradé son industrie électrique à l’Allemagne »

« Les possibles coupures de courant d’énergie sont la conséquence du fait que nous avons pris la décision de délaisser le secteur nucléaire, De renégociations en reculades avec la commission européenne, la France a bradé son industrie électrique à l’Allemagne. Elle pouvait se battre avec son industrie nucléaire, elle s’est placée sur le terrain des Energies Renouvelables (EnR) intermittentes et surtout celui de l’éolien dont elle ne possède aucun atout industriel » analyse Jean-Louis Butré,  membre du groupe d’experts « Énergie et Vérité ».

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Relance : appel à projets pour soutenir l’industrie nucléaire)

Le gouvernement a lancé vendredi, dans le cadre de son plan de relance, un appel à projets pour moderniser l’industrie nucléaire et soutenir l’investissement dans la filière. Pour le ministre de l’Economie Bruno Le Maire : « le volet nucléaire du plan de relance vise autant à maintenir la place de la filière à l’export qu’à maintenir ouverte toutes nos options pour un mix décarboné et compétitif en France. Nous devons préserver nos compétences pour construire des centrales nucléaires. Il faut donc soutenir et moderniser les entreprises de la filière ».

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Recharger sa voiture électrique à des lampadaires, une solution d’avenir ?

Alors que la France s’est fixée comme objectif de disposer de 100 000 bornes de recharge pour voitures électriques d’ici fin 2021 (pour 30 000 aujourd’hui), Ubitricity propose une alternative aux bornes de recharge classiques à la fois intéressante, rapide à mettre en place et économique.

Elle consiste à directement intégrer un point de recharge (lente) dans un lampadaire. La prise, placée dans le mât de l’éclairage public, est utilisable via un QR code. Le propriétaire de la voiture électrique se voit imputer par le fournisseur d’électricité de son choix la stricte consommation de son véhicule.

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Linky et Gazpar : une solution pour réduire ses factures

Et si le simple fait de visualiser votre consommation électrique en temps réel vous aidait à la réduire ? C’est l’observation réalisée dès 2012 par une équipe de chercheurs du CNRS de l’Université de Nice Sophia Antipolis en partenariat avec l’Université de Liège.

L’étude indique même que le groupe qui disposait des meilleurs outils pour suivre sa consommation électrique est parvenu à la réduire de 23 % sur un an. Un argumentaire qui va dans le sens des possibilités offertes par les nouveaux compteurs communicants, Linky pour l’électricité et Gazpar pour le gaz naturel.

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Pourquoi la 5G gonflera notre consommation d’énergie

Les applications gourmandes en calculs et en particulier celles dites « intelligentes » (intelligence artificielle, ville intelligente, capteurs intelligents, voiture autonome…), que la 5G va permettre de développer, sont des gouffres énergétiques. Le caractère « intelligent » de ces applications résulte d’une très grande puissance de calcul et donc d’une consommation électrique importante.

Ainsi, la multiplication des usages et des données à traiter, permise avec une nouvelle technologie de communication comme la 5G, ne peut donc qu’augmenter la consommation électrique globale de la chaîne « transmission + traitement » en raison de l’inefficacité énergétique de la partie traitement.

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Alstom va vendre des trains à hydrogène en Italie

Alstom, le constructeur ferroviaire français a annoncé avoir remporté un premier contrat de 160 millions d'euros en Italie pour fournir six trains régionaux à hydrogène destinés à la région de Milan.

Ce pionnier de l’hydrogène dans le ferroviaire fait rouler ses trains bleus en Allemagne, en Autriche et aux Pays-Bas, mais attend toujours de pouvoir montrer son savoir-faire en France.

La France n'en n'est encore qu'au stade de la réflexion pour remplacer une partie de ses vieux trains diesel par des trains à hydrogène. Quatre régions sont intéressées, mais les discussions avec la SNCF ont pris du retard et les premiers prototypes ne devraient pas circuler avant 2023…

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Les industriels du nucléaire appellent au développement d’une filière française de l’hydrogène d’origine nucléaire

L'hydrogène est au cœur de l'actualité, tant à l'échelle européenne que nationale. Ainsi, le Plan "France relance" prévoit un investissement de 7 milliards d'euros pour mettre sur pied une filière d'hydrogène française. Dans ce contexte, la filière nucléaire française appelle, à travers une note de position, au développement d'une filière hydrogène d'origine nucléaire, seule source d'énergie capable de produire un hydrogène bas carbone, compétitif et souverain.

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« Nuclear for Net Zero », a climate action group

Cette semaine à Londres, des lumières citoyennes ont surgi dans la nuit pour demander une "révolution industrielle verte" qui préserve le climat, crée des emplois et sauve des vies.

Le groupe d'activistes climatiques "Nuclear for Net Zero", mené par la militante écologiste Zion Lights (ex porte-parole d’Extinction Rebellion, devenue maintenant militante pro-nucléaire), a projeté des messages sur les façades de monuments londoniens en faveur de la construction de nouvelles centrales nucléaires.

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Le nucléaire est la technologie de transition vers un futur bas carbone, pas les centrales au gaz

Le nucléaire et les énergies renouvelables sont-ils incompatibles, comme le suggèrent certains ?

C'est une question pertinente, à l'heure où la Commission européenne et l'Agence internationale de l'énergie affirment que la combinaison de ces deux sources d'électricité devrait constituer l'épine dorsale de la production d'électricité bas carbone du futur.

La question elle-même est dépassée, car la réalité de nombreux pays montre que la combinaison donne des résultats. Le constat est que les pays qui se concentrent principalement sur la combinaison des énergies renouvelables et nucléaires (Suède, Finlande et France) obtiennent les meilleurs scores et ont les émissions de CO2 les plus faibles. Décryptage.

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Framatome s’associe à Metroscope pour déployer des solutions de modélisation numérique et de diagnostics

Framatome et Metroscope, une filiale d’édition de logiciels du groupe EDF, ont récemment signé un partenariat en vue de développer des outils de modélisation et de diagnostics de la performance pour leurs clients nucléaires dans le monde entier.

Cette technologie s’appuie sur des jumeaux numériques et sur l’intelligence artificielle intégrés dans un logiciel très performant permettant de réaliser des diagnostics pour optimiser l’exploitation des centrales. Le logiciel de Metroscope a été récompensé en 2019 par le Prix de l’innovation nucléaire décerné par la Sfen. Il est actuellement utilisé pour superviser la production électrique de 40 réacteurs d’EDF et équipera bientôt l’ensemble du parc français.

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Jean-marc Jancovici, vous êtes écologiste et restez l’avocat du nucléaire, pourquoi ?

« Et pourquoi pas ? Est-ce que moins de danger signifie obligatoirement moins de nucléaire ? Une énergie sans inconvénients, cela n’existe pas. Sans nucléaire, il y a 3 possibilités : soit pas d’électricité, soit des combustibles fossiles, qui contribuent au changement climatique et à la pollution locale, soit des ENR nécessitant une activité minière et une occupation d’espace de dix à mille fois plus importantes. La construction du barrage des Trois Gorges, en Chine, a conduit à évacuer cinq fois plus de personnes qu’à Tchernobyl. Les déchets nucléaires, qui font si peur, sont produits en toutes petites quantités, donc il existe des modes de gestion. La réalité est hélas plus complexe qu’un nucléaire diabolique et des alternatives merveilleuses. »

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Gaz : des projets de plus en plus controversés en Europe

Avec l'ouverture d’un nouveau pipeline acheminant du gaz naturel d'Azerbaïdjan vers l'Italie, la question se pose avec une acuité renouvelée. A l'heure de la transition énergétique, l'Europe a-t-elle encore besoin d'augmenter ses importations de gaz ?

La réponse semble pourtant évidente : la lutte contre le réchauffement climatique voudrait que l’on diminue notre addiction aux énergies fossiles, dont le gaz.

Paradoxalement ce sont certains prétendus défenseurs de l’environnement qui dans l’ombre soutiennent ces projets de centrales électriques à gaz, destinées à compenser l’intermittence des énergies éoliennes et solaires en plein développement grâce aux subventions massives dont elles bénéficient.

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Faut-il craindre des coupures d'électricité cet hiver ?

La semaine dernière, Barbara Pompili a admis que des coupures d’électricités seraient possibles cet hiver. Comment en sommes-nous arrivés là ? Explications claires et factuelles dans cette vidéo.

J'en retiens notamment cette citation de Nicolas Goldberg : « Quand on diversifie notre mix électrique en ajoutant des moyens de production, ça peut contribuer à la sécurité d'approvisionnement. Si on diversifie notre mix électrique en enlevant des moyens de production, ça je pense que tout le monde peut comprendre que ce n'est pas de nature à sécuriser l'approvisionnement. Et je pense que le gouvernement devrait arrêter avec cet élément de langage que tout le monde peut comprendre et où tout le monde peut voir qu'à la fin c'est une arnaque. »

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Connaissez-vous le train hybride « Catbat » ?

Le train hybride fonctionnant à la fois sur des lignes partiellement électrifiées par caténaires, et en autonomie sur batteries représente peut-être le futur du trafic ferroviaire « zéro émission ».

Il s’agit d’éviter d’équiper en caténaires les tronçons coûteux (tunnels, ponts…) et d’ajouter des batteries sur la plupart des trains régionaux diesel-électrique pour franchir de courtes distances successives non électrifiées allant de quelques kilomètres jusqu’à 100 km.

Cette manière de procéder diviserait par trois à cinq le coût de l’électrification des lignes. Les batteries rechargeraient pendant les trajets sous caténaires ou en station avant d’être utilisées à nouveau.

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Paris connaît encore un pic de pollution en plein confinement !

La circulation automobile est présentée comme la principale responsable de la pollution atmosphérique dans les grandes villes. Une thèse considérée comme inattaquable aussi bien par les décideurs politiques, les écologistes et la plupart des médias.

La réalité semble bien plus complexe. Il y a eu trois pics de pollution aux particules fines cette année à Paris, dont deux pendant les confinements marqués pourtant par des baisses sensibles de la circulation routière. S’en prendre avant tout à la circulation automobile pour faire baisser la pollution atmosphérique a toutes les apparences de la démagogie à vocation électorale.

Cela ne signifie évidemment pas que les véhicules n’émettent pas de particules fines et d’oxyde d’azote et qu’ils ne contribuent pas ainsi à dégrader l’atmosphère, notamment des métropoles et de l’agglomération parisienne. Mais stigmatiser uniquement l’automobile revient à tromper sciemment l’opinion, en faisant semblant de s’attaquer courageusement aux pollueurs et aussi de gagner des élections…

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