Société française d’énergie nucléaire

Groupe Régional Rhône-Ain-Loire

Un salarié de la centrale élabore un cursus nucléaire pour des élèves ingénieurs

Maxime Wlodarczak est chef d’exploitation à la centrale nucléaire de Gravelines. Salarié engagé et ancien de l’IMT Lille-Douai, il a créé en partenariat avec la Délégation Régionale d’EDF, RTE et l’ASN un cursus de formation de 100h sur le nucléaire à l'intention des élèves ingénieurs de l'IMT Lille-Douai.

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En plein cœur d’une centrale ! C’est Fascinant !

Vous voulez visiter l'extraordinaire centrale hydroélectrique dernière génération de Romanche-Gavet, mise en service il y a quelques mois après plusieurs années de travaux ?

Alors suivez les Frères Poulain, deux vulgarisateurs techniques passionnés.

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La technologie nucléaire peut contribuer à la lutte contre la pollution de l’air

Selon une étude de l’Agence Internationale de l’Energie, l’énergie nucléaire a préservé le monde d’une quantité de gaz à effet de serre équivalent à 60 gigatonnes de CO2 au cours des 50 dernières années. En évitant à des millions de personnes des problèmes de santé liés à la pollution de l’air, elle aurait ainsi permis d’épargner deux millions de vies, selon une étude de la NASA intitulée Coal and Gas are Far More Harmful than Nuclear Power .

D’après les scientifiques réunis à la Conférence internationale sur les changements climatiques et le rôle de l’électronucléaire en novembre 2019, il sera difficile d’atteindre les objectifs mondiaux en matière de changement climatique sans recourir à l’énergie nucléaire.

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L'Europe centrale, dernière frontière des centrales nucléaires

45 % de l’énergie bas carbone européenne vient du nucléaire ! Ces dernières années, à l’heure où la lutte contre le réchauffement climatique via la baisse des émissions de CO2 devient une préoccupation majeure, le faible niveau d’émissions de l’énergie nucléaire, comparé aux énergies fossiles, est devenu son principal argument. Il a fait mouche en Europe centrale et orientale, où nombre d’Etats sont largement dépendants du charbon pour leur électricité. La République tchèque et la Bulgarie (plus de 45 % de charbon dans la production électrique) comme la Roumanie (26 %) et même la Pologne, championne européenne de l’électricité charbonnée, ont depuis un an lancé ou relancé des projets de construction de nouveaux réacteurs.

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Les conséquences de l’embargo chinois sur le charbon australien

En voulant sanctionner l’Australie, coupable d’avoir demandé une enquête internationale indépendante sur l’origine de la pandémie de Coronavirus, la Chine a peut-être commis une erreur. Si l’économie australienne n’en souffre pas trop, l’économie chinoise commence à subir des pénuries d’électricité et des coupures de courant qui affectent des centaines de millions de personnes.

En effet, le charbon représente 58% de la consommation totale d’énergie chinoise. Record du monde. Et si la Chine produit beaucoup de charbon, elle en importe aussi de grandes quantités, notamment d’Australie. Canberra assurait l’an dernier 57% des importations de charbon de la Chine.

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Les dégâts de l’éolien et du solaire : les coûts d’acheminement de l’électricité

L’éolien et le solaire bénéficient de règles complètement anti libérales dans le cadre européen de libéralisation de l’électricité : obligation d’achat de la production, quand il y en a, par le réseau électrique, quel que soit son besoin, et tarifs subventionnés garantis sur des périodes longues.

En outre, il en existe une autre, moins connue : l’éventuel surcoût directement lié à leur développement est supporté par le réseau de transport et de distribution.

En effet, multiplier les sources de production de l’électricité, c’est tirer des câbles de cuivre et d’aluminium. Pas très écologique, et ruineux.

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Electricité : sommes-nous exposés au risque de black-out ?

Extrait : « Comment assurer la sécurité du réseau malgré les intermittences ? Une potentielle piste serait de considérer les énergies intermittentes comme les autres centrales électriques, avec les mêmes obligations (prévisibilité, obligation de tenir la prévision, pilotables par le réseau).Cette idée imposerait aux exploitants d’énergies intermittentes de gérer la production par des moyens de stockage et de vente d’électricité pilotée. »

Chiche ?

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2020 a été l’année du véhicule électrique, mais la partie est encore loin d’être gagnée

Imposée par les gouvernements et les institutions européennes, la voiture électrique à batteries devrait voir ses parts de marché continuer à progresser rapidement au cours des prochaines années. A condition, toutefois, que le consommateur ne fasse pas trop de résistance, et que l’industrie automobile, tout comme les producteurs de batteries et les groupes miniers, soient capables de suivre. Sans parler des infrastructures de recharge aujourd’hui très insuffisantes. Le temps est compté.

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Quel avenir pour le nucléaire ?

L’énergie nucléaire est souvent la grande absente des réflexions sur les stratégies énergétiques, notamment en Europe et en France, un pays où elle contribue encore à près de 70% de la production d’électricité.

Alors que la transition énergétique impose à l’économie mondiale une diversification des ressources énergétiques afin d’éliminer progressivement les énergies fossiles, il est nécessaire de s’interroger sur le rôle que peut jouer le nucléaire dans la transition énergétique. Décryptage.

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Voyages interstellaires, planètes remodelées, villes géantes, comment la science-fiction imagine l’énergie

Les mondes de la science-fiction et plus particulièrement des «space opera», Star Wars, Star Trek, Battlestar Galactica, Dune, Stargate… regorgent de planètes, de vaisseaux, de flottes, de villes, de stations orbitales, d’armes et de technologies utilisant des sources et des formes d’énergies inconnues et considérables.

Quelles sont-elles ?  Certaines d’entre elles ont-elles un fondement scientifique ?

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Entre l’Europe et la Chine, la guerre de l’hydrogène a commencé

Si l’hydrogène vert, produit avec de l’électricité décarbonée, devient le carburant de la transition énergétique, les pays qui domineront ce marché auront un avantage considérable. L’Europe, notamment l’Allemagne, l’Espagne et la France, et l’Asie, plus particulièrement la Chine, le Japon et la Corée du sud, ont bien compris les enjeux de l’hydrogène. Une guerre technologique, financière et commerciale vient juste d’être lancée.

Et dans cette guerre, la Chine est déjà le premier fabricant mondial d’électrolyseurs. Et par ailleurs, Sinopec, le plus grand raffineur de pétrole de la Chine, a annoncé le 29 octobre qu’il allait investir massivement dans la filière hydrogène pour en devenir un des leaders.

Lire l’article sur Transitions et Energies

Qu'est-ce que la transition vers une énergie propre et quelle place y occupe l’électronucléaire ?

La production et la consommation d’énergie sont les principales sources des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. Ces gaz étant une des principales causes des changements climatiques, les pays du monde entier s’efforcent d’amorcer une transition vers une énergie propre en modifiant leur mode de production énergétique.

Alors que près des deux tiers de l’électricité mondiale sont encore produits à partir de combustibles fossiles, l’AIE estime qu’il faudra qu’au moins 80 % de l’électricité provienne de sources bas carbone pour atteindre les objectifs climatiques d’ici à 2050. Alors intéressons-nous de plus près à cette transition et au rôle de l’électronucléaire.

Lire l’article sur l’AIEA

Carte blanche: « La Belgique a encore un avenir nucléaire »

« Les centrales nucléaires belges sont actuellement responsables de 75 % de l’électricité à faible teneur en CO2 de notre pays. Une centrale nucléaire produit une énergie fiable, sûre et propre, sans émission de gaz à effet de serre et sans pollution de l’air. Néanmoins, notre pays a décidé en 2003 de fermer toutes les centrales nucléaires d’ici 2025 et d’interdire la construction de nouvelles centrales nucléaires pour la production d’électricité. Cette décision est de plus en plus difficile à défendre aujourd’hui, car le problème du climat est devenu beaucoup plus urgent depuis 2003. Ensemble avec le solaire et l’éolien, il est possible d’atteindre nos objectifs climatiques. Il ne serait pas raisonnable de la part de notre gouvernement d’exclure a priori des sources d’énergie sans carbone pour des raisons politiques ou idéologiques. »

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Comment l’industrie nucléaire française peut-elle rester à la pointe de l’excellence ?

L’industrie nucléaire française a développé son parc, le deuxième mondial, C’est une filière de 220 000 emplois, non délocalisables, deux fois plus qualifiés que la moyenne de l’industrie française, répartis dans plus de 2 600 entreprises. Cette filière couvre l’ensemble du cycle de vie des installations de production d’électricité nucléaire, depuis l’ingénierie du nucléaire, son exploitation, jusqu’à la déconstruction, ainsi que toutes les activités sur le combustible. Cette filière a permis à la France d’exporter 5 à 10 fois plus que la moyenne de l’industrie française, notamment en Chine.

Pour autant, les difficultés majeures rencontrées sur l’EPR de Flamanville, accusant environ 10 ans de retard et une facture de près quatre fois le coût initial prévu, requièrent des actions urgentes et de fond.

Lire l’article sur Capgemini

En 2025, des batteries automobiles avec une autonomie de 800 à 1000 km

Durant 20 ans, Pascal Boulanger a travaillé dans la recherche au CEA sur le nucléaire, le solaire et les nanotechnologies. Lors de l’une de ses missions, il doit identifier des technologies, encore au stade de la recherche fondamentale, aptes à être transférées vers l’industrie. L’une d’elles l’intéresse plus particulièrement, celle des tapis de nanotubes de carbone verticalement alignés. Il décide alors de transférer lui-même cette technologie en en créant sa start-up en 2013. Aujourd’hui, elle compte 46 salariés et est sur le point de concevoir ses premiers prototypes industriels.

Lire l’article sur Techniques de l’Ingénieur

Les réacteurs à sels fondus | Encyclopédie de l’Energie

Dans le grand débat sur la sûreté de l’énergie nucléaire, la mise au point de nouvelles filières constitue l’une des réponses. Parmi elles, celle des réacteurs à sels fondus présente un grand intérêt. Depuis les années 1950, de nombreux réacteurs nucléaires électrogènes ont été construits, parmi lesquels les réacteurs à eau sous pression sont les plus nombreux.

Bien d’autres filières ont cependant été étudiées dont certaines continuent de l’être, ce qui est le cas des réacteurs à sels fondus. Décryptage :

Lire l’article sur l’Encyclopédie de l’Energie

Selon l’AIE, le nucléaire et les renouvelables gagnent en compétitivité par rapport aux fossiles

La nouvelle étude conjointe de l’Agence Internationale de l’Énergie (AIE) et de l’OCDE sur les coûts actualisés de l’énergie (LCOE), publiée tous les 5 ans, vient de rendre ses conclusions. Très favorables aux énergies renouvelables et à l’énergie nucléaire, elles affirment que l’investissement dans les technologies bas carbone est aujourd’hui beaucoup plus rentable que les investissements dans les énergies fossiles.

Le nucléaire apparaît comme l’énergie la plus compétitive selon les experts, qui plaident pour le prolongement de la durée de vie des réacteurs.

Lire l’article sur l’EnerGeek

Les batteries solides : questions sur « une formidable opportunité »

Les électrolytes solides constituent une formidable opportunité pour augmenter la densité d’énergie (massique et volumique) des batteries, mais aussi leur sécurité (du fait de l’absence de composés organiques et de la stabilité en température).

Décryptage sur l’état des avancées scientifiques en la matière par Patrice Simon (professeur à l’Université Toulouse III Paul Sabatier et directeur-adjoint du RS2E) et Mathieu Morcrette (ingénieur de recherche CNRS à l’Université de Picardie Jules Verne, et directeur du Laboratoire de Réactivité et de Chimie des Solides localisé au Hub de l’Énergie à Amiens).

Lire l’article sur Connaissance des Energies

D'où vient la chaleur de la terre ?

La géothermie et la géoénergie sont des renouvelables trop négligés qui offrent pourtant des solutions locales et durables à la transition énergétique. Il s’agit tout simplement de récupérer et utiliser la chaleur naturelle du sous-sol via des nappes d’eau chaude (géothermie) ou des sondes dans la roche (géoénergie). Cette énergie a l’avantage d’être omniprésente et non intermittente. Cet article explique l’état des connaissances scientifiques sur l’origine de la chaleur produite par notre planète.

Lire l’article sur Transitions et Energies

Une majorité de Belges est opposée à la fermeture des centrales nucléaires

« Les Belges se rendent compte que la facture d’électricité va augmenter avec la fermeture du nucléaire, qu’on va émettre plus de CO2, qu’on va perdre des emplois, qu’on va perdre une expertise dans un secteur de haut niveau. Je pense que les Belges sont loin d’être idiots et arrivent à voir les choses de manière claire, malgré les avalanches de mensonges qui ont été raconté. »

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Innovation nucléaire : l'énergie, la médecine et le high-tech

Marie Curie naissait il y a plus que 150 ans. Ses recherches innovantes sur la radioactivité ont changé à jamais le visage de la médecine et ouvert la voie aux applications extraordinaires de la physique nucléaire. L’imagerie médicale, la radiothérapie et l’énergie nucléaire ont pu voir le jour grâce à elle.

Tout comme Marie Curie, des chercheurs sont prêts à relever des défis scientifiques d’une complexité extrême. Spécialisés dans les technologies nucléaires, ils explorent l’énorme potentiel de cette science qui, chaque mois, mène à d’extraordinaires découvertes. Ces scientifiques cherchent sans relâche des solutions novatrices, avec la ferme volonté de faire progresser la médecine, les solutions énergétiques, la sûreté alimentaire et les technologies de pointe.

Découvrez la personnalité de quelques-uns, leurs aspirations et leur vision.

Lire l’article sur le Forum Nucléaire

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