Société française d’énergie nucléaire

Groupe Régional Rhône-Ain-Loire

MDG gir støtte til atomkraft

Après les verts finlandais, c’est au tour des verts norvégiens de se prononcer en faveur de l’énergie nucléaire :

MDG « estime que la technologie nucléaire moderne joue un rôle important dans le virage vert. La technologie moderne des réacteurs est aussi sûre que d’autres sources d’énergie, produit très peu de déchets radioactifs et n’émet pas de matières premières qui peuvent être utilisées pour la production d’armes nucléaires. »

Un commentaire monsieur Yannick JADOT ?

Lire l’article sur Dasavisen

10 ans après Fukushima, la production d’énergie nucléaire augmente toujours dans le monde

La production d'énergie nucléaire augmente chaque année, principalement dans les pays émergents et/ou dotés de grandes populations :

La Chine entre 2010 et 2020 a quasiment multiplié par 5 sa production d'énergie nucléaire, passant de neuvième à troisième plus gros producteur au monde L'Inde a doublé sa production d'énergie nucléaire sur les 10 dernières années. La Russie a également augmenté sa production lors de la dernière décennie. Panorama.

Lire l’article sur BFMTV

Approvisionnement en nickel : un risque pour « l’Airbus des batteries » ?

Bien qu’il ne soit a priori « pas considéré comme un métal critique », le nickel fait l’objet d’une forte hausse de la demande dans le cadre de la transition énergétique, selon l’IFP Énergies nouvelles.

IFP Énergies nouvelles indique que « la tendance est à l’augmentation de la part du nickel dans les batteries lithium-ion, souvent en remplacement du cobalt, métal cher et dont la sécurité d’approvisionnement semble plus précaire ». Une électrification accélérée du secteur des transports (dans le cadre d'un scénario « 2°C » compatible avec les objectifs de l'accord de Paris) pourrait ainsi contribuer à faire quadrupler la demande totale de nickel au niveau mondial d'ici à 2050 (avoisinant 10 Mt/an à cet horizon).

Lire l’article sur Connaissance des Energies 

Transition énergétique : les prix mondiaux du carbone encore bien en-dessous du « juste » prix

Le prix du carbone, outil essentiel de lutte contre le réchauffement climatique, reste fixé à des niveaux trop bas pour dissuader le recours aux énergies fossiles et décarboner nos économies, a averti l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

C'est ce qu'a mis en évidence l'OCDE en examinant les prix du carbone en 2018 dans 44 pays membres et du G20 (responsables d'environ 80% des émissions mondiales), et en étudiant l'écart avec une valeur cible de 60 euros la tonne (cette valeur de 60 euros est considérée comme une "estimation moyenne du coût réel des émissions de CO2 pour 2020 et une estimation basse pour 2030").

Lire l’article sur Connaissance des Energies

UE : Des experts pour classer en "vert" les investissements dans le nucléaire

Il y a quelques mois, le Technical Expert Group (TEG) de la Commission Européenne avait recommandé que l'énergie nucléaire ne fasse pas partie de la taxonomie verte, mais le TEG, n'ayant pas toutes les compétences nécessaires, avait demandé une étude plus poussée sur l'énergie nucléaire au Joint Research Center.

Le JRC est un centre de recherche interne à l'UE et est l'organe de conseil indépendant de l'UE en matière scientifique : « Les analyses n'ont pas révélé la moindre preuve scientifique que l'énergie nucléaire fasse plus de mal à la santé humaine ou à l'environnement que d'autres technologies de production d'électricité », explique le rapport. L'enfouissement des déchets nucléaires en couche géologique profonde est considéré comme « approprié et sûr ».

Lire l’article sur Boursorama       Lire le thread plus détaillé sur Twitter

Pour RTE, la France pourrait bien manquer d’électricité au cours des hivers prochains

RTE estime dans son rapport sur les perspectives des dix prochaines années que le risque de pénurie est important au moins jusqu’en 2024. Alors, pour limiter le risque de pénurie d’électricité dans les prochaines années, RTE demande de maintenir en activité la centrale thermique de Cordemais et de ne pas fermer deux réacteurs nucléaires entre 2024 et 2026. Et après, tous les problèmes auront disparu… grâce aux économies d’énergie…sauf qu'une hypothétique baisse de la consommation est en contradiction avec la logique même de la transition énergétique qui consiste à augmenter fortement les usages de l’électricité pour se substituer aux énergies fossiles, et que les prévisions officielles de consommation électrique sont sans cesse révisées à la hausse.

Lire une partie de l’article sur Transitions et Energies (l’article intégral étant réservé aux abonnés)

Un boulevard pour le déploiement des voitures électriques au Québec ?

Au Québec, le secteur des transports compte actuellement pour 43% des émissions de gaz à effet de serre de la province (Le Québec a pour objectif de réduire de 37% ses émissions de GES pour 2030, par rapport à 1990. Le Québec importe la totalité du pétrole qu’il consomme, ce qui représente la moitié du déficit de la balance commerciale québécoise (la province souhaite réduire de 40% sa consommation de produits pétroliers d’ici 2030).

L’électrification des transports est ainsi l’un des axes privilégiés de la politique énergétique québécoise et la province a tout à gagner avec le déploiement à grande échelle des véhicules électriques. Décryptage.

Lire l’article sur Connaissance des Energies

Tristan Kamin - pourquoi ne doit-on pas diaboliser l'énergie nucléaire ?

Voici un excellent exposé sans compromis sur les déchets nucléaires, qui intègre la question de ce qu'il se passe si notre civilisation "techno-industrielle" ne tenait pas aussi longtemps que la radioactivité, avec une explication précise du stockage géologique.

Diplômé de l’ISAE-ENSMA (aéronautique et spatial) et du Génie Atomique, Tristan Kamin est ingénieur d’études en sûreté nucléaire. Agacé par les idées reçues sur le nucléaire, il a développé un goût pour la vulgarisation et le « fact-checking » et utilise les réseaux sociaux pour remettre les vérités scientifiques au cœur des débats. Il nous propose donc avec intervention de vulgariser la réalité du traitement des déchets nucléaires.

Regarder la vidéo sur YouTube

Cette moto électrique peut purifier l’air et se recharger sans fil

Baptisée Aether, cet engin aux lignes futuristes est doté d'un système de purification de l'air qui utilise des filtres en céramique capables de retenir les particules fines de moins de 2,5 micromètres. En roulant, l'air pénètre par les deux énormes ouïes ménagées dans le carénage et ressort purifié. Les filtres en céramique sont lavables et remplaçables une fois arrivés en fin de vie.

Cette moto intègre aussi un système de recharge sans fil de sa batterie lithium-ion qui fonctionnerait sur des places de stationnement dédiées à cet effet ou même en roulant sur des routes compatibles avec la charge par induction. 30 minutes suffiraient pour restaurer les 200 km d'autonomie de l'Aether, indique le designer taiwanais.

Lire l’article sur Futura Sciences

Le gaz naturel liquéfié ne connait pas la crise

Le gaz naturel est aujourd’hui l’énergie fossile la moins décriée. Elle est utilisée par de nombreux pays dont la Chine, l’Inde, les Etats-Unis et l’Allemagne pour remplacer leurs centrales électriques au charbon. L’an dernier, en dépit de la récession mondiale liée à la pandémie, le gaz naturel sous sa forme liquéfiée (GNL), facile à transporter, a continué à se développer tandis que la consommation de pétrole et de charbon baissait sensiblement.

Sauf que si le gaz naturel émet 50% de moins de CO2 que le charbon, il émet tout de même 490 g de CO2 par KWh, soit 12 fois plus que le solaire, 20 fois plus que l’hydraulique, 40 fois plus que l’éolien, et 80 fois plus que le nucléaire français !

Lire le post sur LinkedIn

Lire une partie de l’article sur Transitions et Energies (l’article intégral étant réservé aux abonnés) 

Le bois-énergie, quelle place dans la transition environnementale ?

Première source d’énergie renouvelable produite en France, le bois-énergie occupe une place de poids dans la transition environnementale. Il contribue en particulier à décarboner la production de chaleur, largement dépendante des énergies fossiles.

Co-produit de l’exploitation du bois, sa place doit être envisagée dans une logique circulaire prenant en compte l’ensemble des usages du bois. En réponse à l’urgence climatique, son usage devrait progresser, à condition de renforcer la gestion durable des forêts, sans laquelle aucun usage du bois ne serait possible.

Lire l’article sur Le Monde de l’Energie

[Recrutement] REEL recrute pour son bureau d’études nucléaires

Plusieurs postes sont à saisir. Si vous souhaitez participer à la conception ou à la modification de nos machines spéciales, rejoignez-nous maintenant :

  • 1 poste de Responsable Conception mécanique

  • 2 postes d’ingénieur études électriques/contrôle commande

  • 1 poste de Responsable Conception systèmes électriques

  • 1 poste de projeteur mécanique

Lire le post sur LinkedIn    

Retrouvez- toutes nos offres d’emplois sur notre site carrières 

Le nucléaire est-il un investissement vert ? La bataille de l'atome à Bruxelles

La place du nucléaire dans la future taxonomie européenne fait débat. Jusqu'ici, l'atome n'était pas considéré par la commission comme un investissement vert. Mais une étude pourrait changer la donne. Cette étude a été réalisée par le JRC (Joint Research Center), un centre de recherche interne à l'UE, qui compte 7 instituts de recherche en Allemagne, Pays-Bas, Italie et Espagne et qui est, en plus de ses travaux de recherches, l'organe de conseil indépendant de l'UE en matière scientifique.

« Les analyses n'ont pas révélé la moindre preuve scientifique que l'énergie nucléaire fasse plus de mal à la santé humaine ou à l'environnement que d'autres technologies de production d'électricité », explique le rapport. L'enfouissement des déchets nucléaires en couche géologique profonde est considéré comme « approprié et sûr », ajoute-t-il.

Lire l’article sur L’Express

L'hydrogène industriel, plus gris que vert pour le moment

Ce pourrait être l’arme absolue contre les émissions de CO2 dans les secteurs du transport lourd et de l’industrie, car l’hydrogène n’émet pas de GES et ne rejette que de l’eau en aval.

Sauf qu’en amont, à ce jour, 95 % de l’hydrogène utilisé au niveau mondial est produit à partir d’énergies fossiles, qui génère 10 kg de CO2 rejeté pour 1 kilo d’hydrogène produit !

L’enjeu est donc de décarboner la production d’hydrogène en le produisant via l’électrolyse, à base d’électricité bas carbone. Comme ce processus nécessite de grandes quantités d’électricité, seul le nucléaire et l’hydraulique sont d’une part pilotables (ce qui est une condition essentielle pour espérer faire baisser le coût de l’hydrogène par électrolyse, afin de le rendre économiquement viable) et peuvent produire de gros volumes.

Lire l’article sur ABC Bourse

Transition énergétique : "la consommation va devoir s'ajuster à la production" 

Dans un rapport qui a suscité de vives réactions, le Haut-commissariat au plan alerte sur les choix "largement contradictoires" des pouvoirs publics français en matière de politique énergétique : l'électrification tous azimuts d'une part, et la réduction de la capacité de production nucléaire d'autre part. Une situation qui risque de déboucher sur "un gouffre" entre le niveau de la consommation et celui de la production d'électricité.

Lire l’article sur Bati Actu

Xiaomi annonce l’arrivée de sa propre voiture électrique, avant Apple

Le constructeur chinois vient d’annoncer son lancement sur un secteur où personne ne l’attendait, celui de l’automobile électrique. Xiaomi a prévu d’investir 10 milliards de dollars dans une nouvelle filiale entièrement dédiée à ce projet d’envergure au cours des 10 prochaines années.

Signe de l’importance accordée à ce projet, ce sera Lei Jun, le directeur général de Xiaomi, qui sera lui-même à la tête de cette filiale.

Lire l’article sur PhonAndroid

La CNR investit 38 millions d’euros dans la construction d’une centrale hydroélectrique en Isère

La CNR a lancé le chantier de construction d’une centrale hydroélectrique sur le torrent de La Sarenne, à Bourg-d’Oisans (Isère), un investissement de 38 millions d’euros. Cet aménagement dit "de haute chute" (735 mètres) affichera un débit maximum de 1,8 m³/s et une puissance installée de 11 MW. La production annuelle prévue de 36 GWh permettra d’alimenter en électricité bas carbone l’équivalent de la consommation électrique de 16 000 habitants.

Lire une partie de l’article sur l’Usine Nouvelle (l’article intégral étant réservé aux abonnés)

Humble One, un SUV solaire qui promet 800 km d'autonomie

Le SUV de Humble Motors promet 800 km d’autonomie, une puissance de pointe équivalente à 1020 ch, le 0 à 100 km/h abattu en 4,9 sec, et une vitesse de pointe de 250 km/h… pour la modique somme de 109 000 dollars soit près de 93 000 euros !

C’est bien joli tout cela, mais ce n’est pas avec ce genre de véhicule électrique, même si sa technologie est sans doute fabuleuse, que l’on va démocratiser l’usage des voitures électriques !

Lire l’article sur Futura Sciences

10 ans après Fukushima : les progrès accomplis en matière de sûreté nucléaire

Le 11 mars 2011, la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi au Japon était frappée par un violent tremblement de terre et un puissant tsunami.

Quels progrès ont été accomplis en matière de sûreté nucléaire depuis l’accident ? Panorama de 8 actions emblématiques.

Regarder la vidéo sur l’AIEA

Comment le chemin de fer a conquis la France

Le train a façonné la France depuis près de deux siècles et a démocratisé le transport sur longue distance. Il est ancré économiquement, culturellement et socialement dans le pays. Décryptage dans ce dossier de Yoann Demoli Maître de conférences en sociologie à l’Université de Versailles Saint-Quentin et à l’Université Paris-Saclay et Alexia Ricard Ingénieure d’études au CNRS

Lire l’article sur The Conversation

C/o Framatome
Zone Tech
2 Rue Pr. Jean Bernard
69007 Lyon