Société française d’énergie nucléaire

Groupe Régional Rhône-Ain-Loire

Promotion des métiers et carrières de la filière nucléaire auprès des écoliers le 16 novembre.

Plus de 200 collégiens et lycéens de la Drome et de l’Ardèche ont  pu venir s’informer et découvrir les emplois et opportunités de la 3ème filière industrielle française. Au programme : des conférences sur l’impact des différentes énergies sur le réchauffement climatique, le fonctionnement des centrales nucléaires, des présentations des métiers, des témoignages de salariés de la filière de tous âges et profils, la visite du chantier-école du site, des rencontres avec des organismes de formation...

Tout cela grâce à l’organisation de la Direction Action Régionale Auvergne Rhône-Alpes d’EDF, et à la contribution de salariés des centrales nucléaires de Cruas-Meysse et du Tricastin, de l’IFARE, de Nuclear Valley, et de la Sfen RAL.

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Job Dating pour la filière nucléaire en Aura le 18 novembre

Clap de fin  pour une belle journée de recrutement organisée à Roussillon aux côtés de 18 entreprises du secteur nucléaire : 80 demandeurs d’emploi accueillis, 32 entretiens programmés et 3 embauches directes réalisées !

Une belle réussite en région AURA grâce à la mobilisation des équipes EDF, IFARE, Pôle emploi, Nuclear Valley, et Sfen RAL.

Organisée pour les centrales de Bugey et Saint Alban, cette journée complète celle organisée en début de semaine pour les centrales de Tricastin et Cruas afin de promouvoir auprès des jeunes les métiers et les carrières de cette filière d’excellence industrielle française présente sur nos territoires.

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Berlin en croisade contre l'atome, quels risques pour la France ?

L'Allemagne souhaite exclure le nucléaire de la taxonomie européenne, l'outil de financement visant à diriger les investissements publics et privés vers des activités vertes et durables. A contrario, Berlin tente de pousser à l'inclusion du gaz naturel dans la finance verte de l'UE, bien que celui-ci émet 40 fois plus de CO2 que le nucléaire selon le GIEC. Quelles sont les motivations derrière ce choix et surtout quels sont les risques pour la France ?

Les citoyens français sont-ils prêts à renoncer à l'indépendance énergétique permise par le nucléaire pour accentuer notre dépendance vis-vis de la Russie, de l'Allemagne ou d'autres puissances étrangères ? Par Margot de Kerpoisson, chercheuse en relations internationales à l’Ecole de guerre économique (EGE)

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EDF Hydro construit une STEP à Dubai

Chantier fabuleux de Hatta dans le désert près de Dubaï, où l‘ingénierie hydraulique d’EDF travaille pour le compte de Dubai Electricity & Water Authority - DEWA. Ce sera une STEP ( Pumped Storage Hydro) de 250 MW, fonctionnant comme une batterie géante avec deux réservoirs d’eau communicants par une galerie de 1,2 km. Chantier vraiment très impressionnant et très vaste, tant pour les barrages que pour l’usine, dans cet environnement magnifique des Hajar Mountains.

L’exemple de ce que l’hydraulique sait faire, même dans le désert, pour le stockage de l’électricité, et accompagner ainsi le développement de l’électricité solaire des Emirat Arabes Unis : celle-ci pourra être stockée en journée pour être restituée la nuit.

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Le premier béton de bois à bilan carbone négatif fabriqué en Isère

C’est une petite révolution : En Isère, une entreprise a réussi à produire le premier "béton de bois". Un matériau innovant et écologique qui a tapé dans l’œil du groupe Lafarge.

Il est constitué d’un peu de ciment et de beaucoup de bois. 90% au total de plaquettes de bois broyées provenant de scieries iséroises. Baptisé "TimberRoc", ce nouveau matériau a été mis au point par une TPE, après 15 ans de recherches. Sa composition lui permet d’être négatif en émission carbone : "On emprisonne le carbone accumulé par les arbres durant des décennies dans le béton de bois sur un temps long. Résultat, on a ce bilan carbone négatif", précise Laurent Noca, co-inventeur de la sté CCB Greentech.

Lire ou écouter l’article sur France Info

Les négociations entre GE et EDF butent sur le prix de vente

Depuis mi-septembre, EDF et General Electric mènent des discussions « exploratoires », afin que le conglomérat américain cède la partie nucléaire de son activité à l’énergéticien EDF ; une activité acquise à Alstom en 2015.

Malgré la volonté de l’Élysée d’avancer vite, les négociations sont dans le dur. La question épineuse : la valorisation des commandes d’équipements à General Electric dans le prix de vente, sachant qu’EDF est l’acheteur de l’activité et le commanditaire de ces équipements. General Electric ne veut pas « brader » l’activité… et EDF ne veut pas être le dindon de la farce en rachetant trop vite et n’importe comment. « Il doit s’assurer d’avoir un bon outil industriel »….

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Excell : point d’étape à mi-parcours

Lundi 8 novembre 2021, EDF et le Groupement des industriels français de l’énergie nucléaire (GIFEN) ont présenté un deuxième point d’étape du plan Excell : 22 des 25 engagements fixés initialement ont été atteints, voire dépassés.

Alain Tranzer, délégué général à la qualité industrielle et aux compétences nucléaires d’EDF a présenté des avancées concrètes sur la montée en compétences de la filière.« Nous étions sur un niveau de 14 % de soudures sur site à reprendre sur le parc en 2020. Ce niveau est de 8,8 %, à date, au bout de trois trimestres en 2021, sur un échantillon représentatif de 3 000 soudures. Nous visons 7 % soit une division par deux de la non-qualité des soudures sur site », a t-il notamment déclaré.

Lire l’article sur la Sfen

Shidaowan nuclear power plant reaches planned operational conditions

Outre le lancement de chantiers de réacteurs classiques à eau pressurisée (génération III) en série, la Chine teste aussi en parallèle plusieurs technologies de génération IV : Les unités 1 et 2 du site de Shidaowan, réacteurs nucléaires à gaz à haute température HTR-PM, de quatrième génération, ont toutes deux atteint la première criticité, marquant le début de leur exploitation. Prochaine étape : la connexion au réseau électrique.

La construction de l'unité de démonstration Shidaowan HTR-PM de 210 MWe a débuté fin 2012. L'exploitation réussie de l'unité pourrait ouvrir la voie à des unités commerciales de 600 MWe. 18 autres réacteurs HTR-PM sont proposés pour le site de Shidaowan.

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The Energy Transition Will Be Built With Metals

La transition énergétique, si elle décolle un jour, nous verra passer d'un système énergétique basé en grande partie sur la combustion à un système énergétique basé sur les métaux. La consommation de gaz, pétrole, charbon est d'environ 15 milliards de tonnes par an.

L'International Energy Agency (IEA) prévoit que pour son scénario Net Zero by 2050, la demande en métaux pour l'énergie pourrait augmenter d'un facteur 6 d'ici 2040, avec pour certains métaux des hausses considérables (x40 pour le lithium).

L'IFP Energies nouvelles indique par exemple que 90% des ressources connues aujourd'hui pourraient être extraites d'ici 2050.

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Combien de tonnes de CO2 en plus si la Belgique ferme tous ses réacteurs nucléaires ?

Selon les sources, les estimations divergent. Pour le co-président d’ECOLO, Jean-Marc Nollet " comme cette fermeture complète n’implique qu’une seule centrale gaz supplémentaire (NDLR par rapport au scénario qui conserve 2 réacteurs nucléaires), on peut estimer que le surplus d’émission sera de 0,8 à 1,5 millions de tonnes de CO2 par an, pendant 10 ans " soit  12 à 13 millions de tonnes sur 10 ans.

D'autres scénarios donnent des résultats plus élevés. Le bureau d’étude Energy-ville table sur 25 millions de tonnes en plus, en 10 ans. Quant au bureau du plan il émettait l’hypothèse d'au moins 40 millions de tonnes supplémentaires entre 2025 et 2035.

Lire ou écouter l’article sur RTBF

Pays-Bas : les partis négocient pour 8 nouvelles centrales nucléaires

Les discussions des partis néerlandais VVD, D66, CDA et ChristenUnie qui négocient pour la formation d'un gouvernement aux Pays-Bas portent aussi sur la construction d'au moins une grande ou de deux petites nouvelles centrales nucléaires. Les montants que le gouvernement devrait investir sont déjà abordés, selon le journal Volkskrant.

Les deux partis qui sont le plus partisan de l'option nucléaire, VVD et CDA, souhaitent au moins que huit centrales nucléaires soient construites. Ils ont présenté cette proposition lors des négociations, dans l'espoir d'en voir au moins une ou deux sortir de terre, car Les chrétiens démocrates de ChristenUnie et D66 sont plus critiques à propos de la nécessité et du coût

Lire l’article sur Le Vif

En Allemagne, l’abandon du nucléaire s’est-il accompagné d’un recours accru aux énergies fossiles ?

La réponse est : non, l’Allemagne n’a pas augmenté le nombre de centrales à charbon depuis 15 ans, ni celui de ses centrales à gaz. Elle a même baissé les émissions de CO2 de sa production électrique.

Sauf que cette question, et la réponse qui va avec, oublient d’une part les ordres de grandeur, et d’autre part la mise en perspective avec d’autres pays.

Dit autrement, baisser la part des fossiles c’est bien, baisser les émissions de CO2 c’est très bien, mais quelle est l’ampleur de ces baisses, et ces baisses représentent quoi par rapport aux autres pays industrialisés comparables ?

Réponses à ces questions dans ce post, démonstrations chiffrées à l’appui

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La Métropole de Lyon va dépenser près de 150 000 € pour des détecteurs de radioactivité

La Métropole de Lyon, dirigée par Bruno BERNARD (EELV) a passé un accord avec la Criirad (Commission de Recherche et d’Information Indépendantes sur la RADioactivité), association cofondée par Michèle RIVASI (EELV), pour installer ces deux appareils sur son territoire.

Les services de l’État, qui disposent aussi d’un réseau de surveillance sur l’ensemble du territoire français, via l’IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire), organisme dont le sérieux et l’indépendance sont reconnus, n’ont pas été sollicités. Pourtant, les données de ce réseau de surveillance sont publiques et accessibles en ligne et une balise de mesure existe déjà sur Lyon.

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Promotion 2021-2023 du titre pro « technicien d’exploitation nucléaire »

Le 8 novembre 2021, c'était la dernière rentrée de l'année au CFA des Métiers de l’Energie : Le CFA a accueilli 7 alternants qui vont préparer un Titre pro de technicien d'exploitation nucléaire déposé par EDF pour l'ensemble du parc nucléaire.

Ils seront formés au lycée Alexandre Bérard à Ambérieu-en-Bugey et à un des centres de formation d'EDF UFPI (St Alban ou Dampierre), et leur immersion sera dans une des centrales du territoire. Que l'aventure commence !

Bravo aux jeunes qui s'engagent pour la filière nucléaire et à EDF UFPI et DPN + CFA Métiers de l'énergie pour avoir mis au point ce cursus.

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L'électricité renouvelable et nécessaire des barrages du Limousin

Alors que la COP 26 bat son plein à Glasgow en Ecosse, on oublie parfois (voire souvent) que les barrages restent la première source d'énergie renouvelable en France, et la deuxième source de production électrique avec 25 gigawatts.

Renouvelable et pilotable, c’est-à-dire disponible à la demande, afin de de répondre aux pointes de consommation, matin, midi, soir, quelle que soit la météo. En effet, les ouvrages hydroélectriques sont capables à tout instant de faire face aux pics de demande en mobilisant l'eau stockée les mois précédents.

Zoom sur le Limousin, où 23 barrages hydroélectriques assurent une production d’électricité bas carbone.

Lire l’article sur France 3 Régions

Point de vue. « Nucléaire : et si on conjuguait industrie et écologie ? »

« Le débat autour des enjeux de transition écologique s’éclaire actuellement d’un jour nouveau. La question du nucléaire fait apparaître un clivage profond et très net entre ceux qui s’y opposent et défendent une écologie largement incantatoire et coupée des réalités concrètes, une écologie ouvertement décroissante et décliniste, et ceux qui considèrent que le nucléaire, en complément des énergies renouvelables, peut nous permettre, à condition d’être plus fortement déployé, de continuer à progresser sur la route de l’innovation et du progrès. Cette route que des générations d’hommes et de femmes ont empruntée avant nous, et qu’il nous faut maintenant poursuivre dans le respect de notre environnement. » Christelle Morançais, présidente du Conseil régional des Pays de la Loire.

Lire l’article sur Ouest France

A l’avenir, notre production d’énergie va nécessairement devenir de plus en plus visible

« La transition énergétique, qui nous impose de décarboner nos modes de vie dans les 30 prochaines années, comporte un fait qui peut sembler paradoxal : nous allons consommer moins d’énergie mais beaucoup plus d’électricité. Or la surface spatiale pour produire, notamment, de l’électricité éolienne est largement supérieure à celle exigée pour une centrale de gaz ou une centrale nucléaire. […] La production d’électricité éolienne demande environ 50 fois plus d’espace que celle d’une centrale à gaz, et près de 100 fois plus qu’une centrale nucléaire. »

Décryptage par Greg De Temmerman, physicien, chercheur associé aux Mines-ParisTech PSL, directeur général du think tank Zenon Research et auteur de Chroniques énergétiques (Editions La Butineuse)

Lire l’article sur Usbek & Rica

150 nouveaux réacteurs : la Chine mise gros, très gros sur le nucléaire

Alors que Xi Jinping ne s'est pas déplacé à la COP26, il ne fait aucun doute que les espoirs du monde reposent pour partie sur la Chine, dont les émissions de gaz à effet de serre battent des records.

Le pays compte bâtir plus de 150 nouveaux réacteurs dans les quinze prochaines années –plus que le reste du monde les trente-cinq précédentes. Ce plan (de 380 milliards d'euros… !), a pour objectif annoncé de produire 200 gigawatts d'ici 2035, soit, comme le calcule Bloomberg, de quoi alimenter l'équivalent d'une douzaine de mégalopoles comme Pékin.

Selon Pékin, ce parc atomique serait à même d'éviter l'émission de 1,5 milliard de tonnes de CO2, plus que ce que produisent chaque année les activités de la France, de l'Allemagne, du Royaume-Uni et de l'Espagne réunis.

Lire l’article sur Korii

Official COP26 "We Need Net Zero" Nuclear Flash Mob

A l'occasion de la COP26 à Glasgow et dans le cadre de l'initiative « Nuclear4Climate »,  l'équipe jeune génération britannique « Young Génération Network »  a organisé un Flash Mob dans les rues de Glasgow sur le thème "Netzero needs nuclear" (avec la participation de Myrto TRIPATHI, fondatrice des Voix du Nucléaire !)

5 minutes géniales, qui témoigne d’un mouvement citoyen pronuclaire au sein des jeunes qui est visiblement hyper actif, enthousiaste, innovant, et qui donne beaucoup d’espoir pour l’avenir…

Félicitations aux participants (et aux concepteurs des paroles de la chanson) !

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