Société française d’énergie nucléaire

Groupe Régional Rhône-Ain-Loire

AfterWork aux Clubs Etudiants Sfen de l’ISTP et de l’EMSE le 4 avril.

A la demande conjointe des Clubs Etudiants Sfen de l’Institut Supérieur des Techniques de la Performance (ISTP) et de l’Ecole des Mines de Saint Etienne (EMSE), Valérie Faudon (Déléguée Générale de la Société française d'énergie nucléaire, Vice-Présidente de l’Européan Nuclear Society) animait ce lundi 4 avril un AfterWork sur le thème de « La place de l'énergie nucléaire en France » devant une quarantaine d’élèves ingénieurs issus de l’EMSE et de l’ISTP.

Cet AfterWork s'est déroulé en trois temps :

  • après une présentation,
  • nous avons poursuivi par une séance de questions-réponses,
  • et les échanges se sont ensuite poursuivis en toute simplicité et proximité autour d'un verre.

Lire le post sur LinkedIn

La Sfen en visite le 4 avril à la centrale nucléaire de Bugey

Ce lundi 4 avril, Pierre Boyer (Directeur du CNPE de Bugey), en présence de Laurence Poussel (Responsable relations territoriales) et Emmanuelle Valembois (Responsable communication) recevait Valérie Faudon (Délégué générale de la Sfen) accompagnée de Thomas Jaquemet (Chargé relations publiques), Jean Liza (Président GR Sfen RAL) et Thierry Caillon (Chargé communication GR Sfen RAL).

Au programme : 1h30 de discussion avec Pierre Boyer, suivie de 2h de visite permettant de découvrir les hommes et femmes, ainsi que les équipements de la FARN (Force d’Action Rapide Nucléaire), du simulateur numérique de salle de commande au sein du service de formation, avec un tour en salle des machines et au pied des DUS (Diesel d’Ultime Secours).

Lire le tweet sur Twitter

Emmission du 30/03/2002 sur LCP « Fessenheim, le début de la fin du nucléaire ? » : un florilège de contre-vérités

Le 30 Mars, la chaîne parlementaire LCP a cru bon de rediffuser un documentaire en pleine campagne électorale sur le sujet de Fessenheim, cette centrale nucléaire arrêtée il y a deux ans sans justification. Or la partialité de ce reportage, ses erreurs et ses approximations, peuvent conduire le téléspectateur, non averti de la complexité de ce sujet et souhaitant disposer d’une information objective, à se détourner de l’électronucléaire et par conséquent des candidats favorables à cette énergie qui reste pourtant une chance pour la France.

Alain Desgranges, membre de PNC-France, lance donc un appel aux parlementaires via cette lettre qui présente un florilège des contre-vérités des auteurs de ce reportage.

Lire cette lettre sur LinkedIn

La guerre en Ukraine profite au charbon et au nucléaire

La guerre lancée par la Russie en Ukraine favorisera-t-elle la transition énergétique ? Ou sera-t-elle au contraire plutôt un frein ?  On peut le redouter, tant certaines mesures prévues pour compenser la baisse des importations de gaz et de pétrole russes sont loin d’être vertes.

L’Union européenne, très dépendante des hydrocarbures russes, envisage ainsi « sans tabou », selon le vice-président de la Commission Frans Timmermans, le retour au charbon, source d’électricité la plus émettrice de gaz à effets de serre.

La réouverture des centrales à charbon et nucléaires participe au remplacement du gaz russe, confirme Thierry Breton, commissaire européen chargé du Marché intérieur.

Lire une partie de l’article sur Le Figaro (l’intégralité étant réservé aux abonnés)

Framatome va ouvrir un centre de formation au nucléaire en Saône-et-Loire

Le spécialiste du nucléaire a choisi la ville de Saint-Marcel, en Saône-et-Loire, pour implanter son futur centre d'expertise et de formation. L'objectif : faire monter en compétences les salariés du secteur et attirer de nouveaux profils sur le territoire.

Baptisé « Centre calculs Bourgogne », l'établissement proposera un cursus de formation diplômant, en partenariat avec une école d'ingénieurs, dont le nom n'a pas encore été dévoilé. Le projet va bénéficier d'un accompagnement de France relance.

Avec ce nouvel outil, Framatome ambitionne de « faire monter en compétences la filière nucléaire sur la question des calculs mécaniques ». Le centre devrait intégrer 150 salariés en 2025 et l'entreprise espère attirer des talents de toute la France.

Lire l’article sur Les Echos

La France et l’Europe pourraient se passer du gaz et du pétrole russe sans trop de dommages économiques

Selon une étude publiée par le Conseil d’analyse économique, un embargo sur les importations de gaz et de pétrole russe aurait un impact relativement supportable par les économies française et de l’Union Européenne. Il se traduirait par une perte de PIB comprise en moyenne entre 0,2 et 0,3%, « soit 100 euros par Européen adulte ».

L’étude met également en avant une option qu’elle juge plus intéressante : la mise en place de droits de douanes élevés sur les importations énergétiques russes. Les taxer de 40%, serait « plus efficace qu’un embargo strict » : Cela entrainerait une « réduction très forte des importations », d’environ 80% (au lieu de 100% avec un embargo), tout en réduisant « fortement », en les divisant par 3 ou 4, les pertes de PIB des pays les plus dépendants de la Russie.

Lire l’article sur LinkedIn

Le Royaume-Uni met le cap sur le nucléaire pour se passer du gaz russe

Sans dépendre du gaz russe comme l'Allemagne, le Royaume-Uni se préoccupe de son indépendance énergétique. Le gouvernement britannique devrait dévoiler jeudi les grandes lignes d'une nouvelle stratégie énergétique faisant la part belle au nucléaire et à l'éolien « offshore ».

Le ministre de l'Industrie et de l'Energie, Kwasi Kwarteng, en a donné les premiers détails dans le « Sunday Telegraph ». Il est question de construire 6 à 7 nouveaux réacteurs au Royaume-Uni à horizon 2050, également d'étendre la durée de vie des centrales existantes, et d'investir dans les SMR.

L'objectif serait de porter la capacité du parc de 7 à 24 gigawatts. Dans l'approvisionnement énergétique britannique, la part du nucléaire passerait ainsi de 15 % à 25 %.

Lire l’article sur Les Echos

Le concours Innovatome organisé par la Sfen Jeune Génération se tiendra le 14 et 15 mai à Paris

Les inscriptions au concours sont d'ores et déjà ouvertes, via ce lien : https://lnkd.in/eXdn_DTt

En amont de ce week-end, la JG organise une série de webinaires autour de l'innovation dans la filière nucléaire. Le premier se tiendra le 12 avril de 13h à 14h et aura pour thème le nucléaire au service de la santé. Au programme :  

  • Laboratoire Isotopes Stables d’Orano : le nucléaire au service de la santé, la recherche et l’industrie (Laurent Bigot | Responsable du développement business et du développement des moyens de productions | Orano)

  • Orano Med : le nucléaire pour le traitement contre le cancer (Julien Dodet | President d’Orano Med | Orano)

L'inscription à ce 1er webinaire est gratuite et ouverte à tous via ce lien

La faillite de la politique énergétique européenne

En l’espace de quelques mois, le choc gazier et la crise ukrainienne ont démontré aux Européens la fragilité de leur système énergétique, leur perte de souveraineté et la faillite totale d’une stratégie inspirée par l’Allemagne : « La guerre en Ukraine n’est pas seulement un moment charnière pour l’architecture de sécurité en Europe, mais aussi pour notre système énergétique. Elle a rendu notre vulnérabilité cruellement flagrante », a été obligée de reconnaître la commissaire européenne chargée de l’énergie, Kadri Simson, le 28 février.

L’Union Européenne ne peut plus tergiverser et doit opérer un tournant radical dans sa politique énergétique.

L’Union Européenne doit également réformer le dispositif européen du calcul des prix de marché de l’électricité.

Lire le post sur LinkedIn

Xavier Moreno : « Donner à la relance du nucléaire un label de grande priorité nationale »

« L’éolien et le solaire contribuent à réduire les émissions de gaz à effet de serre dans les pays qui produisent leur électricité principalement par des centrales à gaz, à charbon ou au fuel. C’est le cas de la plupart des pays du monde, des plus développés aux plus pauvres. Pour eux, ces énergies renouvelables intermittentes sont utiles. »

 « Mais la France a une situation qui n’est comparable à celle d’aucun de ces pays : son électricité est décarbonée à 95 % grâce au nucléaire et à l’hydraulique. Lorsqu’on y diminue la part du nucléaire pour augmenter celle des énergies renouvelables intermittentes, il faut prévoir en même temps, comme en Allemagne, plus de centrales fossiles, principalement à gaz, pour alimenter le réseau électrique quand il n’y a ni vent ni soleil. »

Lire l’article sur Le monde de l’Energie

A la centrale nucléaire de Gravelines, une digue de 7 mètres pour se prémunir de la montée des eaux

Depuis mi-2020, le CNPE de Gravelines a entamé un chantier maritime hors du commun. L’objectif est de rendre les installations complètement étanches en cas de montée brutale du niveau de la mer. Cette mesure fait suite au retour d’expérience de l’accident survenu à Fukushima en 2011.

Pour relever ce défi, il a notamment fallu acheminer 4 pontons maritimes, 5 bateaux et des grues. Ce gigantesque chantier, qui doit composer avec vents et marées, permet de dresser côté terre, une digue composée de remblais et d’enrochement, complétée d’un mur en béton et de 8 portails étanches. Et côté mer, ce sont 1 750 palplanches qui surélèveront la protection actuelle pour atteindre 7,48 mètres, contre 6 mètres actuellement.

Lire l’article et regarder la vidéo sur Le Monde

Londres va renationaliser en partie la gestion de son réseau électrique

Londres va créer un nouvel organisme de gestion du réseau énergétique britannique, ce qui passera par une nationalisation d'activités de la société cotée National Grid. Cette annonce s'inscrit dans le cadre de la nouvelle stratégie énergétique britannique qui doit être dévoilée jeudi en détail.

« Au regard des prix mondiaux élevés de vente en gros du gaz et des pressions sur les réseaux électriques à la suite de l'invasion illégale de l'Ukraine par la Russie, les consommateurs font face à des coûts en hausse et il est urgent de sécuriser et doper la production nationale d'énergie », justifie le ministère de l'Énergie, de l'Industrie et des Entreprises (BEIS). « Nous allouons la supervision du système énergétique britannique à un nouvel organisme public », le Future system operator (FSO).

Lire l’article sur Le Figaro

Le chinois Tsingshan fait trembler le nickel

Et si Tsingshan Holding Group réussissait son pari ? Le sidérurgiste chinois a décidé de s’attaquer à l’un des principaux goulots d’étranglement à venir dans la production de batteries : l’approvisionnement en nickel. Alors que la demande de sulfate de nickel explose, les gisements à haute teneur se raréfient.

En 2021, Tsingshan, plus gros producteur mondial d’inox et de nickel, a démarré la production de nickel de qualité batterie à partir d’une nouvelle voie utilisant du minerai à faible teneur, beaucoup plus abondant. Une technologie, pas révolutionnaire en soi, mais qui permettrait d’inonder le marché, pour peu que Tsingshan réussisse à surmonter les freins environnementaux… car l’empreinte carbone élevée de ses produits rebute les constructeurs automobiles en dehors de la Chine.

Lire l’article sur l’Usine Nouvelle

La France était en mars le plus gros acheteur de gaz naturel liquéfié américain

Pour se passer du gaz russe, la France diversifie ses sources d’approvisionnement. La priorité a été donnée logiquement au gaz naturel liquéfié (GNL), notamment américain, qui a l’avantage d’être disponible en relativement grande quantité. Les États-Unis ont livré dans le monde 100 cargaisons de GNL en mars, une augmentation de 6% par rapport à février et de 28% par rapport à mars 2021.

La France a été ainsi en mars 2022 la 1ère destination d’exportation du GNL américain. Pas moins de 16 méthaniers en provenance des USA ont livré leur cargaison, deux fois plus qu’au mois de février. La France va se doter d’un 5ème terminal portuaire d’importation de GNL au Havre, qui sera flottant (les 4 autres sont terrestres), accroissant ainsi la capacité d’importation de 3,9 millions de tonnes.

Lire le post sur LinkedIn

Des nouvelles de l’Université des Métiers du Nucléaire

Les 5 lauréats des bourses d’études nucléaires du Lycée Général et Technologique de l'Europe. à Dunkerque ont rencontré cette semaine leur parrain « entreprise » ! Ces jeunes en formation initiale ont été sélectionnés au mérite et sur leur motivation pour rejoindre les métiers sur lesquels la filière nucléaire recrute : électricien industriel, soudeur, chaudronnier, tuyauter, mécanicien machines tournantes.

Les parrains/marraines ont un rôle essentiel dans le dispositif pour faire découvrir leur métier et leur entreprise, les installations et aider les jeunes à s’orienter : c’est un engagement précieux, merci à eux !

Au total, 50 lycéens dans 10 lycées partenaires, accompagnés par autant de parrains/marraines, bénéficieront de ce dispositif pour l’année 2021-2022.

Lire le post sur LinkedIn

Championnat de France de soudure les 26, 27 et 28 mai 2023

Le soudage, c'est la souveraineté nationale. En organisant ce Championnat de France de soudure, Mehdy Addad (gérant de la société Qualiweld EI) et Christophe Lagarde (gérant de la société System Weld SARL et influenceur fondateur de la communauté Soudeurs 2.0 ) ont souhaité donner un coup de jeune à l’image dont souffre le métier de soudeur, pourtant indispensable à tous les secteurs industriels (aéronautique, défense, spatial, automobile, nucléaire, gaz, pétrole, ouvrages d’art, etc.).

Les 26, 27 et 28 mai 2023, au parc des expositions de Vierzon (Cher), se déroulera le Championnat de France de soudure. Inédit en France, cet évènement unique est ouvert à tous, professionnels et amateurs de soudage, hommes et femmes, sans limite d’âge.

Lire le post sur LinkedIn

C/o Framatome
Zone Tech
2 Rue Pr. Jean Bernard
69007 Lyon