Société française d’énergie nucléaire

Groupe Régional Rhône-Ain-Loire

Les fournisseurs d’électricité « verte » se convertissent au nucléaire.

Enercoop, qui propose à ses clients du « 100 % renouvelable », réclame à son tour l’accès à l’électricité nucléaire, pour empêcher l’explosion de ses tarifs. La promesse a été discrètement effacée du site web d'Enercoop, fournisseur alternatif d'électricité fondé il y a dix-sept ans par une poignée de sociétés et organisations antinucléaires, dont Biocoop, Greenpeace, les Amis de la Terre… « Notre électricité est garantie 100 % renouvelable et 0 % d'origine nucléaire », vantait la réclame. À la faveur de la guerre en Ukraine et de la crise énergétique, les 107 000 clients d'Enercoop prennent brusquement conscience que non seulement l'offre d’Enercoop n'est pas réellement « 100 % renouvelable », mais l'apport d'électricité nucléaire est devenu indispensable à sa survie.

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Les grands arbres sont indispensables en ville

La présence d’arbres dans les villes, où vit aujourd’hui la majorité de la population mondiale, est une évidence. Au-delà de leur impact sur la santé physique et mentale des populations, ils offrent de multiples bienfaits. Ils participent à la régulation du climat, atténuent le bruit, captent le carbone, et contribuent à une infiltration plus lente de l’eau dans les sols. Ceci dit, tous les arbres n’ont pas le même impact. Et les plus grands ont une influence bien plus importante que les espèces plus petites.

De façon générale, les arbres de grande taille ont une meilleure capacité à stocker du carbone (donc, à capter le carbone de l’air pour réduire le CO2 dans l’atmosphère), à diminuer la pollution atmosphérique, et permettent d’éviter plus efficacement le ruissellement des eaux pluviales.

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Il y a de sérieux risques de coupures de courant en Suisse l’hiver prochain… et en Europe

L’approvisionnement de l’Europe en électricité l’hiver prochain s’annonce problématique. Un avant-goût de ce qui nous attend vient de nous être fourni par la Suisse, à savoir la mise en garde de la Commission fédérale de l’électricité, Elcom. L’approvisionnement en électricité du pays sera très incertain pour l’hiver prochain compte tenu de sa capacité de production insuffisante, les barrages manquent d’eau, et donc de la nécessité d’importer de l’électricité des pays voisins. Sauf que les importations traditionnelles de France sont menacées par les problèmes de corrosion qui affectent une partie du parc nucléaire français. Et les importations d’autres pays voisins sont suspendues à leurs capacités à s’approvisionner d’ici la fin de l’année en gaz naturel, ce qui est très loin d’être assuré.

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Longue vie à Nuclear Europe ! 

La Communauté nucléaire européenne était réunie à Helsinki pour son Assemblée générale ces mardi et mercredi.

Le démarrage de l’EPR finlandais à Olkiluoto en mars, de même que les annonces récentes en France et au UK, les projets en République Tchèque et aux Pays-Bas, sont autant de signaux très forts qui montrent le chemin parcouru par l’industrie nucléaire et son importance dans la bataille contre le changement climatique.

Les membres de Foratom ont également acté le nouveau nom de leur association qui devient désormais Nucleareurope. Ce changement marque le nouvel élan qu’entendent se donner les principaux industriels européens du secteur, dans un contexte de relance du nucléaire, une énergie souveraine, sûre et décarbonée !

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Le SMR français Nuward va être évalué par trois autorités de sûreté européennes

Le 2 juin 2022, EDF a annoncé que le SMR français Nuward fera l’objet d’une pré-évaluation menée par l’Autorité de sûreté nucléaire française (ASN), en collaboration avec les autorités de sûreté tchèque (SUJB) et finlandaise (STUK).

« Cette revue tiendra compte de toutes les réglementations nationales actuelles de chaque pays, des objectifs de sûreté et des normes internationales les plus élevées, ainsi que des dernières connaissances et bonnes pratiques en la matière » , a déclaré EDF, en ajoutant :

« Cette démarche est une première mondiale. Nous travaillons à ce que NUWARD™ devienne le modèle de référence en Europe. Nous agissons concrètement pour permettre un rapprochement des approches de sûreté des pays européens pour les SMRs. »

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Parc photovoltaïque à Superphénix : les panneaux viendront de Chine et pas de l'Isérois Photowatt

1°) Non seulement on a arrêté en 1997, pour de simples raisons politiques, un réacteur de type surgénérateur pour lequel la France était en avance sur tous les pays du monde

2°) Mais à présent on converti cette centrale nucléaire qui produisait à l'époque 1240 MWe de manière pilotable, en une centrale solaire composée de 22 000 panneaux photovoltaïque produisant au maximum 10 MWcrête, seulement en milieu de journée, au zénith, les jours de soleil,

3°) Et en plus ces 22 000 panneaux solaires ne vont même pas être fabriqués en France, par le seul fabriquant français Photowatt, (qui pourtant est une filiale d’EDF, et implanté seulement à 20 kms de Creys-Malville), mais vont provenir de Chine !

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Nucléaire : la leçon des écologistes finlandais

En renonçant à s'opposer à l'énergie nucléaire, les écologistes finlandais infligent une leçon de pragmatisme à tous leurs voisins européens.

Vu d'Helsinki, ce n'est pas tout à fait une surprise, et le gouvernement, tout comme les écologistes, font d'ailleurs mine de relativiser ce qui, vu de France, n'est ni plus ni moins qu'un coup de tonnerre écologique.

Car début juin, 400 membres de la Ligue verte, réunis pour une conférence annuelle dans la ville de Joensuu, se sont officiellement convertis au nucléaire, désormais considéré dans le manifeste du parti comme "une énergie durable".

Le parti vert souhaite désormais réformer la législation du pays sur l'énergie pour lancer des petits réacteurs modulaires (SMR).

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En Allemagne, le charbon plombe les objectifs énergétiques européens

Parfois présentée comme un modèle à suivre en matière d’écologie, l’Allemagne doit massivement recourir au charbon pour pallier l’intermittence des énergies renouvelables. Un paradoxe qui explique les mauvais classements du pays en termes d’émissions de GES, des émissions qui se jouent des frontières et entraînent des milliers de morts tant en Allemagne qu’au sein des pays voisins. Quatrième puissance mondiale, éternelle meilleure élève de l’UE, montrée en exemple à suivre par la quasi-totalité de la classe politique française, l’Allemagne écoperait-elle du bonnet d’âne en ce qui concerne sa politique énergétique et climatique ? Parmi les 27 états membres de l’UE, l’Allemagne reste le 1er émetteur avec 840 millions de tonnes de GES rejetées (vs 455 pour la France). Décryptage.

Lire l’article sur ZeGreenWeb

Framatome reçoit un Prix Innovation décerné par la Commission européenne lors de Euradwaste’22

La solution Quantom de Framatome a reçu un Prix Innovation Euratom lors de la conférence Euradwaste’22 dans la catégorie gestion des déchets radioactifs. La solution de Framatome permet d’inspecter et d’identifier plus rapidement le contenu des colis de déchets nucléaires.

« Quantom est une avancée technologique qui réduit le temps d’inspection de plusieurs semaines à quelques heures. Elle permet à nos clients de gagner du temps et de réduire leurs coûts globaux de 50 %. Nous sommes honorés de recevoir cette récompense de la European Commission, en reconnaissance de notre engagement pour l’excellence Framatome. » a déclaré Catherine Cornand, senior executive vice president Installed Base Business Unit de Framatome.

Lire le communiqué de presse sur Framatome

[L'instant tech] Réseau, matériaux, sûreté… Les secteurs où EDF veut tirer profit du calcul quantique

Lors d’une conférence organisée le 31 mai dans le centre de R&D d’EDF, à Palaiseau (Essonne), les trois doctorants spécialistes du calcul quantique rattachés à l’entreprise ont présenté leurs travaux. Donnant à voir les secteurs où l'énergéticien compte tirer profit de cette technologie émergente.

« En 2019, une petite équipe réfléchissait à quoi pourraient servir les qubits et les calculateurs quantiques au sein d’EDF », se remémore Marc Porcheron. «Trois ans plus tard, nous sommes assez contents de voir que nous avons identifié un certain nombre de cas d’usages s’appliquant aux métiers d’EDF», résume-t-il.

Lire une partie de l’article sur L’Usine Nouvelle (l’intégralité étant réservé aux abonnés)

Les familles Corre et Liébot créent la 1ère fonderie française capable de traiter tout type de déchet aluminium

Pour le secteur du Bâtiment, qui représente 23% des émissions de GES en France, la décarbonation est vitale. Dans cet esprit, les familles Corre (extrusion et thermolaquage de profilés alu) et Liébot (menuiseries alu, extrusion et thermolaquage de profilés alu), investissent ensemble en créant la 1ère fonderie française capable de trier tout type de déchet alu pour produire de l’aluminium bas carbone. Les installations de tri seront situées sur le même site que la fonderie, contribuant ainsi à réduire le bilan carbone lié au transport. Celle-ci sera dotée d’une centrale de production d’électricité qui fonctionnera grâce à la chaleur récupérée sur le site de production, permettant de réduire la consommation nécessaire pour alimenter ce type d’industrie.

Lire l’article sur l’Echo de la Baie

EDF : les contours de la révolution qui vient

Prioritaire pour le gouvernement, la réforme d'EDF bénéficie d'un nouveau souffle grâce au contexte de crise énergétique.

Pour éviter de s'attirer les foudres des syndicats ou de l'opposition, Emmanuel Macron met en avant un projet de nationalisation plus fédérateur. Exit le projet Hercule, place à la nationalisation du géant nucléaire dépositaire de l'avenir énergétique de la France.

A une place de choix, le retour d'EDF à 100 % dans les mains de l'Etat figure parmi les chantiers prioritaires du nouveau gouvernement qui doivent être engagés après les élections législatives, aux côtés de la lutte contre l'inflation et de la réforme des retraites. « On serait gagnant à le faire le plus rapidement possible », confirme une source au sein des pouvoirs publics.

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Framatome annonce l’acquisition de Cyberwatch

Le leader international de l’énergie nucléaire, Framatome, a annoncé l’acquisition de Cyberwatch, une équipe d’experts en gestion des vulnérabilités et en contrôle de la conformité. Cet ajout complète et renforce l’offre de cybersécurité de Framatome afin de servir des industries telles que les transports, l’énergie et la défense.

L’acquisition de Cyberwatch complète les solutions éprouvées de Framatome pour la détection, l’identification, la validation et le déploiement de correctifs de vulnérabilités.

Et ces solutions sécurisent les systèmes informatiques (IT) et de technologie opérationnelle (OT) pour le nucléaire et d’autres industries critiques contre les cybermenaces.

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Le nucléaire, une chance pour l’avenir ? avec Valérie Faudon

Sapiens Sapiens, c'est chaque mois une conversation en toute liberté avec une personnalité. Une rencontre entre êtres humains, tout simplement, pour mieux nous comprendre.

Dans le 18ème n°, Olivier Babeau reçoit Valérie Faudon, Déléguée générale de la Société française d’énergie nucléaire (Sfen) et Vice-Présidente de l’European Nuclear Society (ENS) pour une discussion autour de l'avenir du nucléaire :  Quel est le fonctionnement du nucléaire ?  Quelle est la différence concrète entre la fusion et la fission ?  Quels sont les principaux avantages de cette technologie pour les usagers et pour la transition énergétique ? Quel est le fonctionnement de la conservation et la garantie de la non-nocivité de la gestion des déchets ?

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En Chine, l’exploitation des terres rares s’accompagne d’une pollution massive

La Chine domine la production et le traitement des terres rares et métaux stratégiques, utiles dans la transition énergétique. Elle possède ainsi un avantage compétitif majeur dans les technologies indispensables à la transition. L’industrie européenne est dépendante de la Chine. Mais exploiter des terres rares sur le sol européen ne serait pas accepté socialement par les populations compte tenu de la pollution que cela engendre. Afin d’atténuer ce déséquilibre industriel, l’UE encourage les États membres à développer et à diversifier leurs sources d’approvisionnement, qu’elles soient primaires (minières) ou secondaires (réutilisation, recyclage et réduction des déchets), mais les pays sont contraints par des législations environnementales qui imposent de nombreux aménagements.

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Le Premier ministre japonais souligne l’importance de redémarrer le parc nucléaire

La guerre en Ukraine a fortement impacté les marchés de l’énergie et selon un rapport préliminaire du ministère japonais des Finances, les dépenses des importations liées à l’énergie ont atteint un record historique au mois d’avril 2022. Le ministre japonais l’Économie, du Commerce et de l’Industrie, Hagiuda Kôichi, a appelé fin mai les familles japonaises à se réunir dans une seule pièce cet été afin de réduire leur consommation d’électricité en mutualisant l’air conditionné.

Dans ce contexte énergétique tendu, le Premier ministre japonais Kishida Fumio, a réaffirmé l’importance de « maximiser l’utilisation de l’énergie nucléaire » et met la priorité sur le redémarrage du parc nucléaire « sans envisager de nouvelles constructions ».

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[WiN France et Sfen JG] Webinaire interactif : Energie en Europe : où va-t-on ?

WiN France, en partenariat avec la Sfen JG, vous propose un Webinaire avec Maxence Cordiez le vendredi 8 juillet ! Lors de ce webinaire intitulé « Energie en Europe : ou va-t-on ? » Maxence Cordiez, auteur du livre « Energies » chez Tana édition, collection « Fake or not ? » et spécialiste des questions liées à l’énergie, abordera la crise énergétique actuelle en Europe, comment y répondre à court, moyen et long terme. 

Ce webinaire interactif sera animé par Julia Cantel et le même temps de parole sera attribué à Maxence Cordiez et au public. L’excellent duo Larissa Noudem et Jean-François Cantel assurera la modération des questions.

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