Société française d’énergie nucléaire

Groupe Régional Rhône-Ain-Loire

Ce 16 juin, l’Université Lyon1 et la Sfen Rhône-Ain-Loire ont signé une convention de partenariat

La Sfen RAL accompagnera l’UCBL dans la conception et l'animation de formations scientifiques adaptées aux besoins en recrutement des entreprises du secteur électronucléaire,

Des enseignants, comme des étudiants du Master PHYSMAN et de la licence RD2 de l’UCBL, pourront intervenir dans des lycées, sur la base de présentations construites par la Sfen RAL.

Depuis longtemps, la Sfen RAL intervient auprès d’étudiants, car de nombreuses écoles reconnaissent sa qualité de « société savante » et « sa rigueur scientifique » pour concevoir et animer des cours et interventions de qualité. Nous intervenons à ce titre au sein d’écoles d’ingénieurs, d’école de management, d’université, et de lycées.

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Lyon, plaque tournante du nucléaire : Agnès Pannier-Runacher en visite stratégique

La ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher était en visite à Lyon, ce 20 juin, notamment à Gerland, précisément au 76 avenue Tony-Garnier.

Car c’est là, dans un bâtiment neuf tout de verre et de béton qui ne paie pas de mine, que repose une grande partie de l’avenir de l’énergie nucléaire français.

À l’arrière du Matmut Stadium (ex-stade de Gerland) est installée depuis quelques mois la société Edvance, détenue à 80 % par EDF et 20 % par Framatome. Et c’est elle qui est chargée de modéliser et d’orchestrer l’essentiel de la conception des 6 à 14 nouveaux réacteurs pressurisés européens (EPR2) annoncés par le président de la République Emmanuel Macron en février 2022.

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Nuclear engineering alliance formed to support EDF

Une nouvelle joint-venture, baptisée NUCEAL, a été créée par les sociétés d'ingénierie française, espagnole et slovaque Assystem, IDOM et VUJE pour accompagner le développement des projets d'EDF dans l'Union européenne et éventuellement au Royaume-Uni.

Le lancement de la joint-venture NUCEAL a eu lieu à Lyon, en France, le 20 juin en présence d'Agnès Pannier-Runacher, ministre française de la Transition énergétique.

Assystem détient 60 % de la joint-venture, IDOM et VUJE détenant chacun 20 % du capital.

NUCEAL propose "d'accompagner EDF sur des projets européens, sur les différentes technologies qu'EDF propose à ses clients : EPR2, EPR 1200 ou Nuward".

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Batteries pour véhicules électriques : l’AIE dresse son état des lieux

Entre 2021 et 2022, la demande mondiale de batteries lithium-ion a augmenté de 65%, et l’AIE estime que les ventes de véhicules électriques devraient atteindre les 14 millions en 2023. La mobilité alternative se met donc en place. Mais son développement pose aussi question. Car comment faire face aux besoins de production en matière de batteries électriques ?

Selon l’AIE, en 2022, 60% du lithium produit dans le monde a été capté par l’industrie des batteries électriques. Idem pour le cobalt (30%) et le nickel (10%). L’AIE alerte : “Réduire le besoin en métaux critiques sera important pour la durabilité de la chaine d’approvisionnement, sa résilience et sa sécurité, en particulier si on considère les récentes augmentations de prix pour les matériaux des batteries.”

Lire l’article sur l’EnerGEEK

Les surgénérateurs nucléaires vont-ils renaître de leurs cendres ?

La France a, un temps, caressé l’idée de développer une filière de réacteurs nucléaires à neutrons rapides (RNR). Puis l’idée a été abandonnée. Dans le contexte de lutte contre le changement climatique, tel le (super)phénix, la technologie semble sur le point de renaître de ses cendres.

Aujourd’hui, dans le contexte nouveau de lutte contre le changement climatique, le gouvernement décide de donner une 2ème chance aux réacteurs à neutrons rapides en accordant une enveloppe de 25 millions d’euros à Naarea, pour le développement de son SMR à sels fondus nommé XAMR et à Newcleo pour celui de son SMR à caloporteur plomb baptisé LFR 30.

Et plusieurs autres projets ayant répondu à l’appel à projets « Réacteurs nucléaires innovants » font aussi le pari des RNR.

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Comment fonctionne une station de transfert d’énergie par pompage (STEP) ?

Avec la transition énergétique, l’acronyme STEP, pour « station de transfert d’énergie par pompage », se fait de plus en plus entendre. Il s’agit d’un système de stockage d’électricité de grande ampleur, qu’il faudrait massivement développer selon certains spécialistes. Mais savez-vous vraiment comment fonctionne une STEP ?

Grâce à cette technique, il est possible de stocker de très grandes quantités d’énergie. Si les STEP françaises ont surtout été créées initialement pour optimiser la production des centrales nucléaires, cette technologie devrait connaître un nouvel essor avec le développement des énergies renouvelables. En effet, les STEP, véritables batteries géantes grâce au pompage-turbinage, permettent de pallier le caractère variable et intermittent des énergies solaire et éolienne. Décryptage.

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France 2030 apporte son soutien à NUWARD, avec un financement supplémentaire de 300 millions d’euros

France 2030 vise à accélérer la transformation des secteurs clés de l’économie française par l’innovation et à positionner la France en leader du monde de demain.

Le gouvernement apporte son soutien aux petits réacteurs nucléaires innovants (SMR), et en particulier à NUWARD, le projet le plus avancé de réacteur européen de faible puissance, qui entre dans sa phase de Basic Design.

NUWARD SMR, la petite centrale modulaire de 340 MWe développée par NUWARD et l’ensemble de ses partenaires stratégiques, viendra en complément des réacteurs de forte puissance ainsi que des énergies renouvelables pour atteindre le Net Zéro et assurer ainsi la #souveraineté énergétique de la France et de l’Europe.

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France 2030 : un plan ambitieux sur le nucléaire de demain

L’avenir énergétique de la France repose sur la substitution des combustibles fossiles par la production massive d’électricité décarbonée, renouvelable et nucléaire. Dans le cadre des investissements du plan France 2030, la filière nucléaire bénéficie de 1,2 milliard d’euros de fonds publics pour développer une industrie nucléaire souveraine et durable.

 Le renouveau du nucléaire s’imagine (selon le gouvernement) autour de quatre piliers :

1- la diversification des usages,
2- la réduction des volumes et de la radioactivité des déchets des installations nucléaires,
3- l’augmentation de l’autonomie stratégique grâce au multi-recyclage des matières nucléaires,
4- l’amélioration de la sûreté et de la sécurité nucléaire.

Lire le communiqué de presse sur economie.gouv.fr

Habeck : : Alte Kohlekraftwerke im Winter wieder anschalten

Surprise lors de la visite du Vice Chancellier allemand, Ministre du Climat et de l'Economie, Robert Habeck, dans le Land de Brandebourg ! En tant que ministre du Climat, Robert Habeck  veut sortir du charbon d'ici 2030. Mais en tant que ministre de l'Economie, il annonce à vouloir rallumer des centrales à charbon l'hiver prochain.

Donc un ministre du Climat ferme au printemps 2023 les 3 dernières centrales nucléaires du pays, qui produisaient une électricité bas carbone (12 g de CO2 par KWh), veut réouvrir à l'hiver 2023 des centrales à charbon, la pire des énergies fossiles (820 g de CO2 par KWh) qui émet donc 70 fois plus de CO2,

Question vision stratégique de long terme, champion le gars !

Et pour la protection du Climat, on attendra...

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Slovenia preparing next steps for JEK2 project

Le gouvernement slovène prendra une décision de principe d'ici le 1er août sur le nouveau projet nucléaire JEK2, consistant à construire un second réacteur sur la centrale de Krško, a déclaré le Premier ministre Robert Golob. Il a déclaré que bien que les pays d'Europe aient des points de vue différents sur l'énergie nucléaire, il pense que : « En fin de compte, il s'avérera que l'énergie nucléaire est presque certainement la seule source fiable d'énergie de base pour l'Europe... La Slovénie, malgré son bon mix énergétique, n'a malheureusement pas d'énergie excédentaire, nous devons en importer une bonne partie. Pas seulement du gaz, du pétrole, mais aussi de l'électricité. Nous devons augmenter notre propre production. »

Le réacteur JEK2 pourrait fournir 8 TWh d'électricité par an, réduisant le besoin d'importer de l'électricité, réduisant les émissions de CO2, et pouvant en outre être utilisé pour les systèmes de chauffage urbain bas carbone.

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Romania's NuScale SMR plan gets USD275 million boost

Un financement pouvant atteindre 275 millions de dollars pour la construction en Roumanie d'une usine de fabrication de petits réacteurs modulaires (small modular reactor, ou SMR) de l’américain NUSCALE, a été annoncé lors du sommet des dirigeants du G7 par les États-Unis et des "partenaires multinationaux public-privé".

Cosmin Ghita, PDG de Nuclearelectrica, a indiqué : "Nous sommes fiers de positionner la Roumanie sur la carte de développement stratégique des projets d'énergie nucléaire... nous sommes fiers que la Roumanie soit le deuxième pays après les États-Unis et le premier en Europe pour développer une petite usine de réacteurs modulaires NuScale VOYGR et que notre projet a gagné la confiance et le soutien des institutions financières les plus importantes au monde. »

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Première mondiale, la Chine va faire fonctionner un réacteur nucléaire au thorium à sels fondus

Les autorités chinoises viennent d’autoriser la mise en service d’un prototype de réacteur nucléaire expérimental au thorium à sels fondus. Le prototype baptisé TMSR-LF1 sera donc le 1er réacteur au thorium à fonctionner dans le monde.

Ce type de réacteur fait partie de la catégorie des réacteurs dits à surgénération qui sont plus sûrs, capables de fabriquer plus de combustible qu’ils n’en consomment, et qui produisent très peu de déchets. Ils représentent l’avenir à moyen et long terme de l’énergie nucléaire, du moins pour ce qui est de la fission. Le réacteur au thorium offre des avantages certains, mais la mise en place d’une filière industrielle et de réacteurs de grande puissance exploitables prendra du temps, car l’expérience industrielle sur ce cycle reste aujourd’hui limitée et quasi inexistante sur l’aval du cycle.

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US regulators conclude Hermes safety review

L’autorité de sureté nucléaire américaine, la Nuclear Regulatory Commission (NRC), a publié son rapport final d'évaluation de la sûreté (FSER) pour la demande de Kairos Power de construire le réacteur d'essai à sels fondus Hermes  à Oak Ridge, Tennessee. La société Kairos Power dit qu'elle s'attend à recevoir un permis de construction pour le premier réacteur au cours de l’année 2023. Hermes sera une version non électrique de 35 MW du réacteur à haute température refroidi au sel de fluorure de la société (le KP-FHR) qui utilise des galets de combustible TRISO (TRI-structural ISOtropic) avec un liquide de refroidissement au sel de fluorure à basse pression. Hermès a été sélectionné par le Département américain de l'énergie (DOE) pour recevoir 629 millions de dollars de financement.

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Korean, Danish companies team up on LEU fuel salt supply

Kepco Nuclear Fuel (KNF) et GS Engineering & Construction, en collaboration avec le danois Seaborg Technologies, vont étudier la faisabilité du développement d'une installation de production de sel combustible d'uranium faiblement enrichi (UFE) en Corée du Sud. Seaborg développe une technologie de réacteur compact à sels fondus (CMSR).

 Ca bouge dans de nombreux pays en matière de recherche sur les réacteurs de 4ème génération à sels fondus : après la Chine avec leur TMSR-LF1, les Etats-Unis avec leur CPA Hermès, sans oublier la France avec le SMR de la start-up STELLARIA essaimée par le CEA, c’est au tour de la Corée du Sud (avec le Danemark) de s’engager sur cette voie prometteuse !

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SI on pouvait stocker l’électricité à grande échelle ?

RTE alerte sur l’augmentation des besoins de stockage de l’électricité indispensables avec la montée en puissance des énergies renouvelables. En résumé, compte tenu de l’augmentation prévu (et nécessaire) des ENR dans les années à venir, RTE indique :

1- qu'il faudra disposer de nouveaux moyens de stockage à grande échelle dès 2030 (cad dans 7 ans),

2- que ces moyens de stockage ne sont à ce jour pas encore matures technologiquement, et qu’il faudra compter à minima 10 ans pour une disponibilité,

3- que ces moyens de stockage ont actuellement un cout prohibitif, et que la baisse des couts est lié à l’approvisionnement des ressources lithium et cuivre, dont l’augmentation des besoins et des couts fait consensus chez les industriels du secteur.

Lire l’article sur RTE

Conceptual design of Polish HTGR released

La conception du réacteur refroidi au gaz à haute température - nommé HTGR-POLA - a été développée par une équipe polonaise du Département d'énergie nucléaire et d'analyse environnementale du NCBJ, sous la direction du professeur Mariusz Dabrowski..

Le réacteur refroidi à l'hélium - d'une hauteur de 12,3 mètres et d'un diamètre de 4,1 mètres - fournira 30 MW de puissance thermique. Il comportera un noyau de type prismatique composé de blocs hexagonaux. Modéré au graphite, le réacteur utilisera un combustible de type TRISO enrichi de 8 à 12 %. Le circuit primaire de refroidissement d'hélium à circulation forcée fonctionnera à une pression de 6 MPa. La température de l'hélium en sortie de réacteur sera de 750°C, en entrée de 325°C. Le réacteur comportera des systèmes de sécurité passifs et actifs, avec une durée de vie prévue de 60 ans.

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Les États-Unis visent le leadership mondial de l'hydrogène propre

Dans la note ci-après publiée ce 15 juin par l'Ifri  (l'Institut français des relations internationales), Sylvie Cornot décrit l'état de la filière hydrogène aux États-Unis, ses ambitions et défis et le contexte dans lequel elle se développe.

Selon elle, « l'ampleur du soutien accordé par les États-Unis à l'hydrogène propre, associée aux ressources du pays, pourrait positionner celui-ci comme l'un des principaux producteurs, consommateurs et exportateurs mondiaux d'hydrogène propre et de ses dérivés ».

Les États-Unis pourraient « même devenir le producteur mondial le moins cher et commencer à exporter de l'ammoniac propre dès 2027 ».

Télécharger la note de l'Ifri

Faut-il freiner l’essor de la biomasse ?

Selon un document préparatoire à la loi de Programmation Pluriannuelle de l’Énergie (PPE), le gouvernement songe à réguler l’utilisation de la biomasse en hiérarchisant ses usages. Une mesure qui semble indispensable pour que la biomasse reste une véritable énergie renouvelable (à défaut d’être bas carbone...).

Si de telles précautions sont employées avec l’usage de la biomasse, c’est qu’elle fait partie intégrante d’un cycle qui repose sur le vivant. En effet, lors de la combustion de biomasse, qu’elle soit solide (bois) ou gazeuse (gaz issus de la fermentation de matières vivantes), le CO2 qui est rejeté dans l’atmosphère correspond à celui qui avait été capturé par l’organisme au cours de sa vie, qu’il s’agisse d’un arbre ou d’une culture comme le blé, le colza, etc. Décryptage.

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Faire face aux menaces contre la sécurité informatique

Le rythme de l’innovation numérique est étourdissant et des technologies telles que l’intelligence artificielle ont fait des progrès énormes. Ces progrès aideront à améliorer les opérations à commande numérique et les technologies d’automatisation dans les installations nucléaires, ce qui pourrait se traduire par une plus grande efficacité opérationnelle, une diminution des coûts de main-d’œuvre et une amélioration de la sûreté et de la sécurité.

Mais les innovations numériques telles que l’intelligence artificielle et l’apprentissage automatique constituent également une menace.

Elles exigent une vigilance constante pour garantir l’intégrité des ressources sensibles et protéger les informations dans les installations nucléaires et radiologiques. Décryptage

Lire l’article sur l’AIEA

Réforme du marché de l’électricité : un nouveau front sur le nucléaire s’ouvre à Bruxelles

Les ministres de l’Énergie des 27 États de l’UE ont ferraillé le 19 juin, sans trouver d’accord, sur le financement des actifs nucléaires existants dans le cadre de la réforme du marché européen de l’électricité. Pourtant, tous veulent que la réforme porte ses fruits et contribue à la baisse des prix de l’électricité avant la fin de l’année. À ce titre, la CE a présenté une réforme du marché proposant la mise en place de contrats pour différence (CfD) sur les actifs de production d’électricité décarbonée. Mais pour quelques pays (minoritaires), la mise en place de CfD pour l’énergie nucléaire est inenvisageable, invoquant un bien étrange argument. Selon le ministre de l’Énergie luxembourgeois, Claudes Turmes, un tel mécanisme créerait une « énorme distorsion [de concurrence] dans le marché intérieur de l’énergie de l’UE ».

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Des fournisseurs d’électricité ont-ils fraudé plusieurs milliards d’euros sur le dos des clients ?

L’association de consommateurs CLCV vient de déposer un recours devant le Conseil d’État. Elle dénonce les agissements de plusieurs fournisseurs d’électricité, suspectés d’avoir acheté à prix cassé une partie de la production nucléaire d’EDF, ce qui est autorisé depuis la libéralisation du marché. Mais de l’avoir ensuite revendue au prix fort, rapporte Le Parisien mardi 13 juin 2023.

Selon le délégué général de la CLCV, certains fournisseurs auraient exagéré leurs besoins [en Arenh], ce qui « leur permet de disposer d’un volume supplémentaire d’électricité, acheté à bas prix, mais revendu ensuite à prix fort sur les marchés au lieu de le destiner à leurs clients ».

Un moyen de faire une belle plus-value.

Lire l’article sur Ouest-France

La Commission européenne reconnait (enfin) le rôle du nucléaire dans la décarbonation

Victoire de l’Alliance du nucléaire dans la directive énergie renouvelable (RED) de la CE : Toutes les sources de production bas carbone, yc le nucléaire, seront prises en compte dans les actions de décarbonation.

Dans la dernière version du texte publié le 16 juin, on peut lire : « La Commission reconnait que d’autres sources d’énergie sans fossile que les énergies renouvelables contribuent à atteindre la neutralité climatique d’ici 2050 pour les États membres qui décident de s’appuyer sur ces sources d’énergie ». Si le nucléaire n’est pas explicitement cité, cela signifie que les objectifs européens doivent en partie s’adapter à la situation des mix énergétiques nationaux, comme celui de la France dont 90 % de l’électricité est déjà décarbonée.

Lire l’article sur la Sfen

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