Société française d’énergie nucléaire

Groupe Régional Rhône-Ain-Loire

La Sfen RAL et WiN le 4 décembre à la table ronde « Le nucléaire en AuRA : au cœur de la transition énérgétique, de l’EPR2 aux SMR »

Cette soirée-débat est la première d’un cycle de trois soirées-débats consacrées au nucléaire, organisées par la fédération SYNTEC Auvergne Rhône-Alpes. La fédération SYNTEC regroupe les métiers qui fournissent aux organisations publiques et privées des prestations intellectuelles complexes. En Auvergne Rhône-Alpes, elle fédère 12 000 établissements (120 000 salariés) réalisant un chiffre d’affaires de plus de 15 milliards d’euros, dans les secteurs du Numérique, de l’Ingénierie, du Conseil, de la Formation Professionnelle et de l’Evénementiel.

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Mardi 26 novembre, la Sfen RAL était à l’ISTP devant les promotions Génie nucléaire 2023 et 2024

Jean-Pierre LOWYS, Jean-Luc BAYLE et Thierry CAILLON sont venus à la rencontre des élèves-ingénieur de la filière Génie Nucléaire pour leur présenter l’association, son réseau, et ses activités.

Cyril FAURE, Directeur général de l’ISTP a rappelé à cette occasion que la filière Génie Nucléaire avait été initiée avec le concours de la Sfen.

Les élèves-ingénieurs se sont montrés attentifs aux présentations et aux échanges, et certains d'entre eux ont d’ores et déjà entamé la création d'un club Sfen ISTP, avec le soutien de la Sfen RAL.

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Pour financer la construction de six nouveaux réacteurs nucléaires, EDF devrait obtenir un prêt à taux zéro

Un tel dispositif de financement est crucial pour disposer au final d’un coût de l’électricité nucléaire le plus compétitif possible. En effet, le coût du capital nécessaire à l’investissement initial, c’est-à-dire le taux d’intérêt du financement fait varier le coût du MWh produit (par les 6 EPR2) de la manière suivante :

40€2020 le MWh pour un taux d’intérêt de 1%
60€2020 le MWh pour un taux d’intérêt de 4%
100€2020 le MWh pour un taux d’intérêt de 7%

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La Roumanie en passe de reprendre la construction de deux réacteurs

Lors de la COP29, l’exploitant roumain Nuclearelectrica a signé un contrat pour achever la construction des deux réacteurs de technologie Candu de Cernavoda. Leurs mises en service sont prévues en 2030 et en 2031.

« Quand les unités 3 et 4 seront connectées au réseau, le nucléaire représentera 66 % de l’électricité bas carbone roumaine, démontrant, une fois de plus, le rôle critique du nucléaire pour une décarbonation profonde de l’économie », a déclaré Cosmin Ghita, PDG de l’entreprise publique Nuclearelectrica.

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Nucléaire : le petit réacteur du groupe Gorgé lance son homologation en France

A l'origine d'un projet de SMR baptisé Calogena, le groupe Gorgé a déposé vendredi 1er novembre son dossier d'option de sûreté à l'Autorité de sûreté nucléaire. Le SMR de Calogena vise à décarboner les réseaux de chaleur urbain. Il est destiné à remplacer les traditionnelles chaudières au fioul ou au gaz. Le Cal-30 repose un concept basé sur des technologies éprouvées, un combustible disponible et vise le marché de la chaleur urbaine en Europe du Nord et de l’Est.

Calogena vise la mise en service d’un 1er exemplaire en 2032, et par ailleurs est en lice pour installer ses SMR en Finlande, afin d’alimenter le réseau de chaleur d’Helsinki.

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Le SMR de la start-up Jimmy conforté par l’évaluation indépendante encadrée par le HCEA

Jimmy a reçu la restitution des auditions menées en juillet par une équipe réunie autour du Haut-Commissaire à l'Energie Atomique, composée de 35 membres de six différents jurys. Cette évaluation dresse un panorama objectif des différents projets de réacteurs nucléaires innovants en France.

Ses conclusions confortent la pertinence du projet de Jimmy, son positionnement (chaleur industrielle), sa maturité, le choix de la technologie sûre et compétitive et la solidité du plan de développement, sans relever de points bloquants quant au déploiement de l’entreprise.

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Le nucléaire local est-il le futur de la réindustrialisation ? La réponse à travers 5 startups

Les innovations en matière d’énergie sont la clé de la souveraineté industrielle : elles permettent  de ne plus dépendre des importations de matières premières énergétiques et d’assurer la décarbonation de l’industrie, afin d’éviter que réindustrialisation rime avec hausse des émissions de CO2. Tous les scenarii du GIEC préconisent une hausse concomitante de la production d’énergie nucléaire et du renouvelable pour parvenir à réduire les émissions de CO2. À ce titre, les recherches en matière de SMR, de réutilisation des déchets radioactifs et de fusion nucléaire permettent d’imaginer une énergie abondante, décarbonée et de proximité, au service du développement d’un tissu industriel pérenne. Voici 5 startups qui s’efforcent d’imaginer ce futur de l’énergie nucléaire.

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Stellaria - Conclusion de l’audition du Haut-Commissaire à l’Energie Atomique

Les équipes de Stellaria ont été reçus par le Haut-commissaire à l'énergie atomique pour une restitution de son rapport sur le nucléaire innovant.

Elles partagent ses conclusions, en ligne avec le roadmap et les actions de l’entreprise :

Du côté des points forts : le combustible, la sureté, la sécurité, le business model.

Du coté des axes à travailler : le combustible, le réacteur, la chimie des sels, la qualification des codes de calculs pour la sûreté.

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COP29 : Les États-Unis s’engagent à tripler le nucléaire

En parallèle de la COP29 de Bakou, la Maison Blanche fixe l’objectif d’ajouter 200 GW de nucléaire d’ici à 2050 avec dès 2035, 35 GW de nouvelles capacités en service ou en construction. Ces objectifs sont accompagnés d’une feuille de route reposant sur 9 piliers allant de la maximisation de la production nucléaire du parc existant à la construction de réacteurs de forte et de petite puissance. Sur le 1er pilier, l’administration a identifié 41 sites nucléaires qui rassemblent les conditions pour accueillir 60 GW de réacteurs de forte puissance. Les SMR pourraient eux prendre place sur 80 % des 400 centrales à charbons du pays.

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La France bat son record absolu d’exportation d’électricité

Au 13 novembre, la France a exporté plus de 78 TWh d’électricité en 2024, soit plus que les 77 TWh atteint sur l’année 2002, précédent record d’exportation. Pour la fin d’année, RTE (Réseau de Transport d'Electricité) table sur 85 TWh exportés (EDF jusqu’à 90 TWh).

La France cumule désormais 43 années d’exportations depuis 1980, avec une seule année d’importation nette : 2022, la crise énergétique, les déboires du parc nucléaire et la faible disponibilité des stocks d’hydroélectricité.

Autre satisfaction, la France résorbe un petit peu son solde commercial négatif

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Framatome increases presence in Italy

Le groupe français Framatome a créé une filiale en Italie - avec des bureaux à Milan et Turin - pour soutenir le développement de l'énergie nucléaire en Europe. En vertu de cet accord, les partenaires mettront en commun leurs connaissances et leur expertise techniques respectives afin de développer conjointement des activités de recherche, de développement et d'innovation pour le secteur nucléaire.

L’Italie avait décidé de sortie de l’énergie nucléaire à la fin des années 80. Mais depuis, l'opinion publique a changé et, en mai 2023, le Parlement italien a approuvé une motion demandant au gouvernement à envisager l’intégration de l'énergie nucléaire dans le mix énergétique du pays.

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Recycling of cooling tower water trialled at French plant

La centrale nucléaire de Bugey à l’honneur dans World Nuclear News ! WNN relate dans un article un projet novateur visant à réduire la consommation d’eau dans les centrales nucléaires, en captant l'eau des panaches des tours de refroidissement, et expérimenté au sein de la centrale de Bugey.

L'entreprise américaine Infinite Cooling a développé une technologie qui utilise un procédé innovant pour capturer les fines gouttelettes d'eau dans les panaches des tours de refroidissement, à l'aide d'un filet collecteur chargé électriquement. Cette eau récupérée (et purifiée) peut réduire considérablement le besoin de traitement de l'eau et diminuer les volumes d'eaux usées rejetées.

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Nuclear can be flexible source in fossil-free energy system, report says

Le nucléaire peut être une source flexible dans un système énergétique sans énergie fossile, selon un nouveau rapport du Dalton Nuclear Institute, intitulé « The road to net zero: renewables and nuclear working together ».

« Une méthode pour améliorer la flexibilité de l'énergie nucléaire consiste à la combiner avec le stockage thermique. Les températures plus élevées produites par certains réacteurs modulaires avancés (AMR) les rendent particulièrement adaptés à la production d'hydrogène et d'autres combustibles synthétiques, ainsi qu'au chauffage pour une large gamme d'applications industrielles. Ce potentiel est également exploité dans plusieurs conceptions d'AMR qui choisissent d'intégrer le stockage thermique à sel fondu. »

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Novembre 2024, nouvelle expérience d’une panne d’électricité verte en Allemagne

L’Allemagne a connu début novembre un « Dunkelflaute », un épisode prolongé de production éolienne et photovoltaïque très faible, combiné à une demande d’électricité forte (début d’hiver). Pendant plusieurs heures, le solaire ne fournissait que 1 seul MWh le 06/11 en fin d’apm (sur un parc de 72 GW), et les 1602 éoliennes maritimes étaient totalement à l’arrêt (sur un parc de 94 GW). Les éoliennes terrestres ne produisaient que 114 MWh (pour une consommation de 66 GWh).

Le prix de l’électricité s’est envolé sur le marché court terme de l’électricité, avec un pic à 820 €/MWh (pour un prix moyen de 68 € au 1er  semestre 2024). L’intensité carbone du mix électrique est passée à quasi 600 g CO2/kWh, du fait du recours aux fossiles.

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EDF en discussion avec 19 industriels pour signer des contrats d'électricité nucléaire

Ces contrats de long terme proposés par EDF à partir de 2026 visent à remplacer le dispositif actuel de l'ARENH (Accès Régulé à l'Electricité Nucléaire Historique), qui disparaîtra fin 2025. Ces nouveaux contrats offrent un tarif préférentiel et stable aux industries électro-intensives, mais en contrepartie, ces dernières doivent s'engager pour des gros volumes et sur de longues durées.

Depuis le début de l'année, EDF a signé cinq " contrats d'allocation de production nucléaire" (CAPN), représentant un volume total de 10 TWh de consommation annuelle. Ces contrats, d'une durée moyenne de 15 ans, portent sur un total d'environ 150 TWh (équivalent à un volume d'affaires de près de 10 milliards d'euros).

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